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Un site hors du commun : Le Pont d’Arc.

Unique au monde, cette arche naturelle grandiose a été percée dans la roche par le passage de la rivière Ardèche.

Située à l’entrée des Gorges de l’Ardèche, le Pont d’Arc mesure 54 mètres de haut, 60 mètres de large, et est datée d’au moins 124 000 ans !

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Qu’est-ce qui définit une appartenance ? L’histoire ? La géographie ? Le lieu de naissance ? 

Qu’est-ce qui peut faire que l’on se considère comme à part entière, membre d’une communauté ? Il est toujours difficile d’oser une appréciation sans ouvrir une chasse aux sorcières.

Alors que je marchais, il y a quelques jours au bord de l’étang de Leucate j’ai croisé un homme qui devait avoir à peu près le même âge que moi. Il avait un fusil de chasse à l’épaule. Cela m’a tellement surpris que je me suis permis de lui poser la question :

• Qu’est-ce que vous tuez ici ?

Il m’a répondu un peu hautin :

• Je tue le temps !

Il avait raison. Autochtone, qu’il semblait être, il pouvait tuer ce qu’il avait envie. Il était chez lui.

Il m'avait paru, tout à coup, idiot d'avoir posé cette question.

Elle m‘était venue à l’esprit parce que l’homme me faisait penser à mon grand-père, passionné de chasse qui lui, tuait sans scrupule le sanglier, ravageur de récoltes dans une région où il était impérieux de restreindre la multiplication de l’espèce. Il était aussi chez lui, mais en Algérie.

 Etranger ... je me sentais étranger à ce moment-là, dans cette région que je fréquente pourtant depuis une quarantaine d’années. Il faut que vous sachiez que, le 18 juin, j'ai franchi les 61 ans à déambuler de ce côté-ci de la mer. Mais tout ce temps passé de ce côté-ci de la Méditerranée me permet -il de revendiquer une appartenance... ?

Les bousculades de l’Histoire on fait que placé à cheval sur une frontière définie arbitrairement par les évènements de la vie, j’ai toujours eu du mal à répondre à la question :

• D’où êtes-vous ?

Autant il est facile d’avancer le nom de son village natal dans lequel on a passé une grande partie de son existence quand celui-ci existe toujours. 

Autant, cela devient plus difficile  de prétendre appartenir à une communauté quand  le village en question n'existe plus que dans ses rêves. On tourne alors autour du pot en mettant en avant des critères tels que la longévité de vie sur un lieu, le plaisir qu’on y a pris, les liens qu’on a su créer…

 Mes pieds s’enfonçant lourdement à chaque pas dans le sable meuble je pensai qu’en l’occurrence ce qui faisait la différence entre l’homme au fusil et moi, n’était ni l’histoire, ni la géographie, ni le lieu de naissance mais l'effort que j'avais consenti à m'intégrer à la société qui m'accueillait. C'était, en quelque sorte un état d’esprit qui avait favorisé les échanges entre deux mondes qui, au départ, n'avaient pas grand-chose de commun.

Quoi de plus appréciable que de pouvoir échanger des traditions, des coutumes, les bribes d’un langage populaire ?

Me sont alors venus à l'esprit tous les bons moments passés avec des gens dont la tolérance, fil rouge de la vie avait permis d'oublier d'où on venait.

Après tout , l'homme au fusil était peut-être de ceux là... Peut-être que ma question idiote l'avait froissé... Elle était pourtant sans arrière pensée. Il aurait fallu qu'il sache que  j' éprouvais presque autant de plaisir à fouler le sable de l'étang qu'à courir sur les plages de mon enfance ... il y a plus de soixante-et-un ans.. Il faut du temps pour que les hommes puissent se comprendre et c'est de cette complicité  que peut naître un sentiment d'appartenance.

CONCOURS AGRICOLE

Le père Firmin a présenté son taureau qui a remporté le premier prix.

"Brave bête, dit le propriétaire, cest vrai que tu es superbe !"

Le taureau :

"Vous aussi, père Firmin, vous seriez superbe si vous aviez choisi vos parents avec autant de soin que vous avez choisi les miens."

PLEIN LES MAINS

Tante Marie interroge Louisette

(quatre ans) :

"Combien as-tu de doigts ?"

 Louisette tourne, retourne ses menottes 

"J'sais pas ... Plein les mains..."

APPETENCE

Par quoi un bon repas doit-il

commencer ?

- Par la faim !

DESCENDANCE

Quelle différence y a t-il entre

Marseille et une truie ?

- C'est que Marseille est port de mer, alors que la truie est mère de porc.

SOLFEGE

Faire le ménage chez des musiciens

c'est le top .

Ils ont un sol si fa si la si ré !!

SURCHARGE PONDERALE

Mes chaussures se plaignent que j'ai pris du poids !

Mais de quoi elles semelles ! 

PRENOM

- Oh ! Léon...votre prénom à l'envers

donne "Noël".

- Tout le monde n'a pas cette

chance, mon cher Luc ! 

L'isard, animal emblématique des Pyrénées.

Des têtes d'isards tracées dans l'argile d'une salle de la grotte préhistorique du Ker à Massat.

OUVRIR

Le Cami rigolo 

OUVRIR

VIVRE ENSEMBLE

1994 - Reportage effectué lors du déplacement d'une trentaine de collégiens de la région parisienne vers le Massif de la Vanoise, dans les Alpes.

 Le lieu 'hébergement des élèves était

Lenslebourg

Clik

Carnet de voyage 

Au Col d'Aubisque                                                                                   

Sur les murs de Saint-Marthory en Haute-Garonne :

Forvil

À ses débuts en 1861, Forvil est parfumeur.

L'entreprise, installée à Nanterre, produit également des poudres et des lotions cosmétiques et lance à partir des années 30 une gamme de produits pour cheveux qui fera son succès dont la brillantine Forvil, une lotion pour faire briller les cheveux.  Forvil a acquis sa notoriété grâce à de fréquentes campagnes de publicité à la radio dans les années 60.

Elle était aussi très présente au bord des routes sur de très grands murs publicitaires.

Forvil a disparu en 1982.

AREL 

Sur l'avenue des Pyrénées (ancienne RN117) : voici une réclame particulièrement bien conservée pour les autoradios "Arel". Cette marque est bien connue des collectionneurs d'anciens postes de radio.
Les lettres du logo Arel évoquent des notes de musique sur une portée. Quant à Clarville, il s'agissait de postes de radios pour la maison. Ces marques bien oubliées de nos jours ... 

Mais observez bien le graphisme. Vous remarquerez que la publicité "AREL" recouvre une ancienne réclame "FORVIL"

 Armande Lasheras, dite Lasserre, honorée pour ses faits de Résistance.

Au dessus de la porte d'un café.

Une plaque commémorative fixée sur une des portes d'entrée d'un café-restaurant à Saint-Martory.

Ce café qui a été tenu par la famille Lasheras, des années 30 jusqu’en 1956.

C’est dans ce café que se déroula en mai 1944 un fait dramatique lié aux activités de résistance d’Armande Lasheras. Membre du réseau Françoise, cette habitante saint-martoryenne aidait les clandestins, la plupart des aviateurs anglais, américains… tombés en France, en leur procurant de la nourriture, des tickets de ravitaillement, etc.