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Le Cami - N°41
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Dans la baie de Cannes entre les Iles de Lérins et la côte, les dauphins sont en vacances et s'en donnent à cœur joie en suivant cette ravissante skieuse.
Quoi de mieux pour s'échapper de la morosité de cette vie quotidienne qui n'en finit pas de peser.
Bienvenue et Bonnes vacances.
Je suis allé chercher mon drapeau mien enroulé, rangé sur une étagère de la cave. Il était enroulé depuis un certain jour du mois de mai 1958. Prenant la relève de mes parents je l’avais précieusement conservé parce qu’il était le témoin d’une étape qui avait marqué ce qu’on appelle « les évènements d’Algérie ». En 1958 j’avais 14 ans. Une délégation du village de Mondovi où j’habitais s’est rendue à Bône pour accueillir le Général De Gaulle, considéré comme notre sauveur potentiel. Le drapeau je l’avais tenu toute la journée, criant « De Gaulle au pouvoir ». C’est au cours de ce voyage que le Général nous avait promis l’Algérie Française.
Mais revenons à la cave... Je n’avais pas remarqué qu’au bout de la hampe du drapeau était fixée une pointe de lance avec les lettres gravées « RF ».
C’était vraisemblablement un de ces drapeaux qui servaient à la décoration de la place du village lors des cérémonies patriotiques. Dans la précipitation se servir dans le stock de la commune avait dû être le moyen le plus rapide de se procurer les accessoires indispensables à la preuve de notre attachement à la France.
Déroulant le drapeau je me suis très vite aperçu que le blanc du tissu n’était plus très blanc. Non seulement cela mais, j'aperçus pour la première fois des restes d’une écriture en grosses lettres.
Avec application quelqu’un avait écrit le nom du village : « Mondovi ». Pas de doute c’était l’écriture de mon père. J’admirais son style de calligraphie. Je l’aurais reconnue parmi mille autres.
Pendant que je remontais de la cave pour aller accrocher le drapeau sur la terrasse, des images qui datent de plus de 50 ans me sont revenues à l’esprit. Je me rappelais cette image, la seule qui me reste où l’on voit une partie de la délégation du village devant un portrait du général De Gaulle, dégoté je ne sais où difficilement trainé par deux individus.
5 JUIN 1958 : DE GAULLE A BÔNE
Nous sommes en juin. Inlassablement comme pratiquement chaque jour, jeunes gens et jeunes filles “font le cours”: c’est l’expression qu’on utilisait alors, pour dire qu’on arpentait le cours Bertagna, les Champs Elysées Bônois.
En haut du cours la statue de Jérôme BERTAGNA, maire de Bône de 1888 à 1903, année de sa mort, semble surveiller le rond-point tout près de l’Hôtel de ville que traverse prestement une femme voilée, tandis qu’un garde coiffé d’un képi blanc fait les cent pas de part et d’autre de sa guérite.
De l’autre côté du rond-point un marchand de glaces attend patiemment qu’un client vienne lui commander une de ses fabrications...peut être un “créponnet”, ce sorbet à base de citron que les badauds apprécient tant lorsque les chaudes journées d’été arrivent.
Depuis quelques jours les colonnes de marbre de l’Hôtel de ville ne sont plus le décor unique de l’édifice dont les Bônois sont fiers. De nombreux drapeaux bleu-blanc-rouge qui ornent la façade lui donnent un air de fête.
C’est que la ville attend la visite du général De Gaulle.
J’ai alors quatorze ans : pas question d’aller au lycée. Etablissements publics et privés, usines, entreprises, commerces sont fermés. Le matin à Mondovi le village est en ébullition. On remplit le car du village, des camions, des véhicules particuliers de français et de musulmans jeunes et moins jeunes, certains arborant un placard de médailles impressionnant. On distribue des drapeaux tricolores, des fanions, des pancartes, des banderoles.
Je me revois, confortablement installé dans le car mon drapeau enroulé à la main. C’est l’effervescence et déjà les slogans fusent “De Gaulle au pouvoir” Vive De Gaulle” et continueront à accentuer l’ambiance festive qui règne dans le véhicule. Il en sera ainsi durant les 25 kilomètres que nous parcourrons pour atteindre Bône.
Le général est arrivé. Le cours est noir de monde. Nous sommes là, réunis, Français et Français musulmans avec la même idée : tendre vers une Algérie nouvelle où la paix régnerait.
Tous les événements depuis leur début, avaient eu tendance à éloigner les deux communautés et ce jour là il me semblait que nous étions du même côté, celui de l’espoir d’une paix qui nous permettrait de vivre ensemble. Beaucoup d'anciens, combattants des guerres 14-18 puis 39-40 arboraient les décorations et médailles obtenues au combat pour la France. Ils portaient la France dans leur cœur.
Je me rappelle le mal qu’avait eu le général à prononcer son discours tant les acclamations étaient fortes et répétées. Une sorte d’euphorie grandissante envahissait la foule. Il avait fallu que le général Salan intervienne pour la calmer afin que De Gaulle puisse parler.
Faute d’avoir relu son discours il me serait actuellement impossible de dire quelle était la teneur de ses propos. Disons que l’essentiel consistait en des paroles rassurantes qui satisfaisaient momentanément tout le monde.
ARDECHE
On vous conduit en Ardèche méridionale LES CHEVRES SAUVAGES
Ambassadrices des gorges !
CES RONDS-POINTS QUI EN DISENT LONG
ST SERNIN (07)
LE MOT QUI NOUS INTERESSE
MAGNANERIE
En passant par
LABEAUME et BALAZUC
Villages de caractère
Quand ALBA était romaine
VALLON
Greffer des oliviers
VOGÜE
Village de
caractère
L'arrêt forme deux l'ortografe !
Afin de vous expliquer pourquoi je suis fermement opposé à la réforme de l’orthographe, je ne prendrais qu'un seul exemple :
le mot "analphabète" (encore écrit... à l'ancienne) Il est issu des deux premières lettres de l'alphabet Grec, "alpha" et "beta" précédées du préfixe privatif "an" qui lui donne son sens original: "qui ne connaît pas les lettres" donc qui ne peut ni lire, ni écrire.
Si maintenant on écrit, comme il est préconisé : "analfabète" c'est différent, il faut revoir son étymologie et son sens, donc :
- "anal" qui a rapport à l'anus,
- "fa" la quatrième note de la gamme
- "bète" personne un peu sotte (nouvelle ortografe, sans accent circonflexe) et donc "analfabète" : con qui fait de la musique avec son trou de balle !
Grasse o nouvo ortografe, ge sai ke ge sui analfabète, a vent, ge liniorai !... mais je pétais quand même ! Transmis par MaMar
UN REMEDE QUI A FAIT SES PREUVES
vérifié sur Hoaxbuster ... par Patrick
Pendant des années, on a estimé que la meilleure façon de faire désenfler un œil au beurre noir était d'y appliquer un morceau de viande crue froide.
Mais des recherches médicales récentes ont démontré que l'application de viande bien tendre chaude et douce réduisait de moitié du temps de guérison.
Appliquer le traitement tant que l'enflure persiste....
ATTENTION aux effets secondaires probables :
Ce traitement peut, hélas, provoquer des enflures dans d'autres parties du corps !!!!!!
Pour voir l’illustration de la marche à suivre cliquez ici
oOoOoOoOoOoO
ATTENTION ARNAQUE !
Un lecteur dont nous ne divulguerons pas le nom a reçu de "Le Bon Coin" un article d'une valeur de 350 Euros .
Mécontent, il lui est impossible de se faire rembourser.
Le produit était sensé faire grossir un pénis.
Il a ouvert son emballage luxueux pour se rendre compte que c'était une loupe...
LE TEMPS D'UNE PENSEE...
D’un commun accord, tous les villageois ont décidé de prier pour avoir de la pluie... Peu de temps après il tombait des cordes, mais... seul un petit garçon avait un parapluie.
C'est avoir la FOI.
Quand vous lancez un bébé en l'air, il rit parce qu'il sait que vous le rattrapperez.
C'est avoir CONFIANCE.
Tous les soirs nous allons au lit, sans aucune assurance d'être en vie le lendemain matin, mais nous réglons les réveils pour nous réveiller.
C'est avoir de L'ESPÉRANCE.
Nous prévoyons de grandes choses pour l'avenir sans vraiment connaître ce que sera cet avenir.
C'est L'ESPOIR.
Nous voyons le monde divorçant, souffrant, injuste, un peu partout, mais nous nous marions .
C'est ça L’'AMOUR.
Sur une vieille chemise de retraité une phrase est écrite :
"Je ne suis pas un ancien de 70 ans... Je suis un jeune de 16 ans, avec 54 années d'expérience "
C'est le POSITIVISME
Tous ces sentiments réunis devraient nous rendre la vie plus facile…
UNE LETTRE QUI SAUTE...
Le fourgon est stationné au bord de l'Ardèche, département où il n'est pas facile de trouver du travail.
Le propriétaire du véhicule a décidé de se recycler.
...ET C'EST LE BONHEUR !
NOTRE REGION EN
QUESTION
Quel nom ?
Résultat du sondage
Quel nom a votre faveur ?
3.7 %8.3 %11.7 %59.7 %16.5 %C'est fait ! Le verdict est tombé .
Les cinq grands quotidiens qui se retrouvent
dans le périmètre de la future région ont
dépouillé les urnes et c'est OCCITANIE qui
apparaît comme le vainqueur de cette
large consultation.
Ce nom semble être le plus grand
dénominateur commun pour
La Dépêche du Midi, Midi Libre et Centre Presse,
qui le placent en tête.
On le retrouve même en position de leader
chez nos confrères de L'Indépendant
et de La Nouvelle République des Pyrénées,
mais accolé à Pays Catalan.
OCCITANIE
L'Occitanie a été un véritable pays
habité par un peuple ayant sa
langue et sa civilisation, son accent.
Il était administré par des seigneurs dont
la puissance équivalait celle du
roi de France.
Au moyen age, il existait des comtés,
des duchés très puissants
comme des États
(Gascogne, Limousin, Auvergne,
Provence).
Ces anciennes provinces tout comme
leurs terroirs sont réhabilitées de
nos jours pour le tourisme,
le folklore ou le commerce.
Au cours des ages, l’Occitanie a évolué.
Actuellement , elle occupe environ le tiers
de la France.
L’espace occitan n’a aucune frontière
politique mais des critères culturels
et surtout linguistiques permettent de l’établir.
A cet égard, elle constitue l’une des plus
importantes minorités ethniques d’Europe.
Ses climats, reliefs, cultures et types sociauxsont très diversifiés.
C’est la langue avec ses dialectes qui a permis
au lien social de s’instaurer.
PYRENEES - Les "CAGOTS", des pestiférés.
C’est en recherchant l’étymologie du mot caguer que j’ai découvert les cagots.
Dans certains villages des Hautes Pyrénées ont vécu des hommes et des femmes condamnés à vivre en marge de la population. Ce mot « cagot » contient la racine « cac » qui signifie « sale ». On parle de « caca » aux enfants ou de "cacophonie" à propos de sons mêlés et désagréables à l’oreille.
Ces hommes et femmes n’étaient pourtant pas plus sales que d’autres tout en faisant l’objet de discrimination. Ils habitaient des quartiers à l’écart de la population, entraient à l’église par une porte dérobées qui leur était réservée. Leur fontaine et leur lavoir n’étaient utiisés que par eux. Ils vivaient dans de véritables ghettos. Un coin du cimetière leur était réservé. Il leur était interdit de se marier avec d’autres que ceux de leurs conditions. Ils devaient même se signaler par une patte d’oie en tissu rouge fixé sur leur torse.
Pourquoi cette discrimination ?
Plusieurs hypothèses sont avancées
- Certains pensent que ce serait l’arrière garde des sarrasins demeurés en Occitanie à la fin de leur conquête.
- D’autres pensent que ce sont des descendants de Wisigoths.
- D’autres avancent l’idée que ce seraient des descendants de lépreux mis à l’écart et contraints de se reproduire entre eux.
Au XIXe siècle, subsistaient essentiellement les injures, le terme « cagot » en constituant une, encore utilisée dans le sud-ouest de la France, sans qu’on ne sache plus aujourd’hui quelle en est l’origine.
Au fil des années l’exclusion sanitaire a évolué en exclusion sociale.
Cette discrimination a été l’origine de nombreux conflits entre les communautés cagots et les villageois
Entrée du musée d'Arreau
Un cagot, au féminin cagote, dans le Sud-Ouest de la France, était aussi appelé agote, sur le versant sud des Pyrénées, en Espagne. Il s'agissait de termes dépréciatifs qui désignaient des groupes d'habitants, exerçant des métiers du bois, ou du fer1, frappés d'exclusion et de répulsion dans leurs villages surtout en Gascogne et de part et d'autre du Piémont pyrénéen, entre le XIIIe siècle et les temps modernes. La réputation des cagots est associée à la peur de la lèpre. Des populations similaires existaient en Bretagne (les caqueux, caquins ou caquous).WIKIPEDIA
Alain Guerreau, directeur de recherche au CNRS, a analysé les conditions qui ont permis qu’un groupe se trouve stigmatisé de cette manière. Pour lui, c’est la réorganisation de la société féodale dans le sud-ouest de la France aux XIIe et XIIIe siècles, qui a créé, dans un contexte économique et politique figé, une catégorie d’exclus (fils cadets, sans terre) vivant à la marge. Les lépreux étant eux aussi rejetés de la société à la même époque, l’assimilation se serait maintenue par la suite, lorsque fut oubliée leur origine.
Il a fallu atteindre les temps de la Révolution pour que les cagots acquièrent le droit de porter un patronyme, le plus souvent lié, d’ailleurs à leur métier (Charpentier ou Carpentier pour beaucoup) ou à leur lieu d’origine
Ce n’est qu’après la première guerre mondiale grâce au brassage de la population que l’on vit peu à peu la génération des cagots disparaître.
L
LE
Un musée se trouve dans la localité de Bozate, en Espagne, créé par le sculpteur Xabier Santxotena, né en Arizkun (descendant d’Agotes). Pour ce dernier, les cagots provenaient des groupes d’une ancienne guilde, en France, dédiée à la construction de cathédrales. Selon lui, l’exclusion des cagots viendrait du fait que ces groupes avait des idées religieuses différentes de l’orthodoxie catholique (ils incinéraient leurs morts, ils étaient contre la hiérarchie de l’Église, etc). Considérés comme hérétiques, les agotes avaient été par conséquent considérés comme porteurs d’une sorte de « lèpre spirituelle » symbolique.
Le seul musée des cagots de France se trouve dans les Hautes-Pyrénées à Arreau. Il est situé dans le château des Nestes, rue Saint-Exupère.
Muée des Cagots à ARREAU
Les cagots étaient aussi appelés « capots » dans certaines régions dont l’Ariège. Il existe à St Girons (25 kms de Massat), une place appelée « Place des Capots ».
Mais alors qu’en est-il du mot « caguer » ?
Il vient du latin « cacare » qui signifie déféquer (aller à la selle).
Dans le midi "faire une cagade" c’est "faire un raté". "Tu me fais caguer" signifie "Tu m’énerves au plus haut degré".
"Envoyer un individu caguer" c’est lui signifier qu’il est indésirable.
Peut-il y avoir un rapport avec les "cagots" ? J'espère ne pas vous avoir fait caguer avec mes élucubrations...
LE BILLET DE CHARLY Une expression presque nouvelle : La fan zone
Les fanatiques des courses automobiles de Formule 1 connaissaient l’expression. C’est l’espace réservé aux animations avant le Grand Prix Automobile. On peut y voir sur écran géant les préparatifs des pilotes et de leur staff avant le départ.
En France on n’a jamais parlé autant de fan zone que depuis le début de l’organisation de l’Euro 2016, la grande compétition de football organisée dans plusieurs villes du pays. Parler de fan zones n’était pas quelque chose de nouveau. On a commencé à utiliser cette expression depuis l’Euro organisé en Autriche et en Suisse en 2008. Le problème en 2016 était de créer des fan zones dans un pays en état d’urgence sous la menace d’attentats imprévisibles. Il s’agissait de sécuriser de vastes espaces contenant des milliers d’admirateurs et supporters ne pouvant assister aux matchs dans les stades des villes organisatrices.
Chaque match a soulevé l’enthousiasme de milliers de personnes « parquées » et contrôlées par les services organisateurs et de police. En même temps, voir autant de personnes coude à coude pouvait faire craindre le pire .Tout s’est passé sans incident majeur. De plus ,par son parcours, l’équipe de France a aidé les fanatiques à faire abstraction de ce qui empoisonne la vie de la population : les attentats.
Il a fallu, malheureusement qu’un soir d’été, un illuminé, choisisse un feu d’artifice, pour nous rappeler que fan zone ou pas la vigilance doit être à tous moments.
HUMOUR Transmis par Armand
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MAGNANVILLE
RETOUR SUR UNE LONGUE TRANCHE DE VIE…
QUAND, A MAGNANVILLE,
ON PENSAIT A AUTRE CHOSE…
Ils avaient perdu mais qu’importe.
La préoccupation des parents qui les suivaient était de leur faire prendre du plaisir et d’en prendre en même temps....
Nul n'est censé ignorer la loi...
Au cas où vous ne le sauriez pas.
Un PV pour défaut de ceinture alors que vous êtes stationné, c'est possible aux yeux de la maréchaussée... si malencontreusement vous avez oublié de couper le moteur :
PV à 90 euros (amende minorée) et 3 points en moins !
Et cerise… sur cette prune :
idem avec votre téléphone mobile !!!
Donc pensez à couper le moteur, sinon votre véhicule et celui qui est au volant, sont considérés comme "en circulation" et non pas "à l’arrêt".
Subtile nuance qui permet de remplir les caisses de l'état.
EVASION
Un homme abat le mur de sa cave... Voici ce qu'il découvre... incroyable !!!
1963 province du Nevsehir, située en Cappadoce.
La région historique de Cappadoce se trouve au centre de l'Anatolie, en Turquie. En 1985, l'UNESCO l'inscrit sur la liste des sites protégés du Patrimoine de l'humanité.
Ömer Demir découvre, presque par hasard, à quelque 30 km au sud de Nevsehir, un « puits profond » : en turc, Derinkuyu. Son attention estattirée par une poule qui disparait par une fissure à l'intérieur de la terre. Ömer Demir se mit à creuser et découvrit alors une galerie très pentue qui conduisait sous terre.
Là se cachait une chambre dont personne avait connaissance.
Quand les hommes sont rentrés dans cette chambre, ils ont découvert une ville entière !
8 étages de profondeur ont été exposés. Les niveaux supérieurs sont principalement des salons et des chambres à coucher,
mais on découvre bien plus en descendant dans les abîmes :
un pressoir à vin, un monastère et même une église sur le dernier niveau.
Il y a également des preuves archéologiques qui suggèrent que l’on y gardait des animaux.
Le fait que des hommes et des animaux y habitaient ensemble sans mourir d’asphyxie
témoigne de l’ingéniosité de leur système d’aération.
Les archéologues pensent que l’on pouvait y loger environ 20 000 personnes.
On pense n’avoir découvert qu’un quart du complexe.
Il devrait exister une cinquantaine de villes comme celle-ci en Cappadoce.
Derinkuyu est même connectée à la ville souterraine adjacente de Kaymakli par un tunnel de 8 kilomètres.
Une des nombreuses théories sur la raison d’être de Derinkuyu est que cette ville souterraine abritait les chrétiens pendant leur persécution par l’Empire ottoman.
Les grandes portes en pierre, présentes dans les tunnels d’accès principaux, soutiennent cette hypothèse.
D’autres archéologues, par contre, pensent que Derinkuyu est bien plus vieux et aurait été construite il y a 4000 ans
À présent, Derinkuyu est devenue une attraction touristique très populaire.
Quelle que soit l’origine de la ville souterraine, le travail immense que la construction d’un système
de tunnels aussi profonds représente est renversant.
AUTRES DECOUVERTE, en France cette fois : L'AVEN D'ORGNAC.
Un film de
A bientôt !