• Le Cami - N°46

    Sommaire

     

     

     

     

     

       

     

    46

     

       

    Le Cami - N°46

    LEUCATE :  PREMIER BAIN 2017

     

    Le Cami - N°46

     Nouvelle rubrique : La Fête du Timbre.

    En 1884, pour la première fois au monde, l'emploi  du timbre adhésif fut instauré en Grande Bretagne.

    Quarante ans plus tard cet usage avait conquis presque tous les Etats. Pour les collectionneurs, les timbres représentent une véritable mine. Depuis 1960 le timbre est émis en couleurs, ce qui donne plus d'attrait à une collection. Même si on l'utilise moins, le timbre reste un élément culturel indéniable.

    Pour chaque  numéro du journal nous sélectionnerons un timbre de notre album pour vous le présenter. Nous y ajouterons des documents qui peuvent contribuer à notre culture.

    Ce mois-ci un exemplaire s'imposait...

     

    Le Cami - N°46

    Dans l'histoire de l'humanité, on rencontre de multiples dates d'anniversaires légendaires marquant le bonheur et le malheur des hommes. Il est un unique anniversaire revenant toujours pour la première fois: le lumineux premier jour du premier mois de l'année.

    Comme la première dent, le premier pas, le premier cartable, la première heure de l'année sonne pour nous offrir un perpétuel devenir.

    Au plein cœur de l' hiver cette fête nous donne une impression de luxuriance, nous donne une sensation de réchauffement. Dans la légèreté, la transparence de l'air, les enfants, bonnets de laine et cache-nez bien noués, comme sortis d'un tableau naïf, chantent autour d'un bonhomme de neige:

    "Vive le vent, vive le vent, vive le vent d'hiver,

    Boule de neige, pomme de pin et bonne année grand-mère."

    Leur joyeuse comptine semble ouvrir la voie à la glissade de tous les autres jours.

    Premier janvier, l'herbe est verte là où l'on se trouve et dans les maisons illuminées, autour de tables joliment décorées, la complicité des conversations écarte les valeurs de temps.

    Pour plusieurs heures, plus de contingences matérielles, plus de soucis, une alliance fraternelle nous arrête, on s'assied, on se ressource, on se souhaite mille bonnes choses, on oublie d'égrener le temps qui passe. Osmose naturelle, on partage cet espace fragile mais bien réel et vital à chacun.

    Dans ce jour unique, comme un premier matin du monde, comme un écrin, une terre promise, une île, un territoire protégé, tous les espoirs sont investis. Que vouloir de plus?

    Comme un sésame tout autour du monde, "là où la terre rejoint le ciel", bonne année les enfants, bonne année papa, maman, bonne année grand-père, grand-mère, bonne année les Papous, bonne année les Inuit, bonne année toute la terre. Marie-Hélène Machu - La Poste

    Le Cami - N°46

    Tandis que l'hiver s'installe "liquidons" nos images de l'automne...

    Le Cami - N°46

     

     Nouvelle expression dans ...

    LE LEXIQUE DE MON ENFANCE

    "LES LIGNES DE BON"

    Nous sommes à l’école de garçons de Mondovi. Et oui à cette époque (1955) garçons et filles sont séparés. Bien séparés puisque les deux écoles sont diagonalement opposées par rapport à la place du village. C’est la dernière année avant le lycée. Nous sommes donc en Cours moyens deuxième année.

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     NOTRE REGION

    LES VOLQUES parmi les premiers habitants.

    Ils habitaient dans ce que l'on peut considérer comme le premier village:

         UN OPPIDUM

    Nous avons ramené des images de celui de NAGES près de Nîmes.

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     Façon de parler !

    MONDOVI :

    Le pataouette

    Il est certain que cette façon de parler ne figure pas dans les livres de grammaire ou de vocabulaire de nos écoles. Comment ce langage est-il né ? De la rue, certainement où se sont côtoyés des individus aux origines très diverses

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      Moi, Président, je garderais le coq !!!

    Dans nos villes ou nos campagnes nombreux sont les monuments ornés d'un coq à l'allure conquérante. 

    "Le Cami" en a photographié deux et ce sont ces photos qui lui ont donné l'idée d'en parler. 

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    LE BILLET DE CHARLY - Ces chinois...ils sont partout !!!

    Ce jour-là Patrick avait déployé sa grande table pliante pour l'ajouter à la table du salon, trop petite. Nous étions une quinzaine Sur la table, en plus des couronnes , des galettes et des bouteilles, un magnifique gâteau en forme d'escargot, couvert de sucre qui faisait envie. Il s'agissait d'un "chinois" préparé avec amour et patience par Nadia. Le chinois est un gâteau d'origine alsacienne. Ne me demandez pas pourquoi on l'appelle "chinois". Je ne saurais vous le dire. Je sais par contre que son nom alsacien est tellement compliqué que je ne me hasarderai pas à le rapporter ici. Il veut dire "escargot" en allemand. vous avez deviné pourquoi. Mais mon propos, ici, n'est pas de parler "chinois" mais du motif de notre réunion.

    Nous fêtions les rois comme il se doit à chaque mi-janvier dans notre société de consommation. Patrick et Nadia avaient pris l'excellente initiative d'inviter tout le quartier à cette loterie qui consiste à choisir une part de gâteau avec l'espoir d'y trouver le sujet qui désignera le "roi" de l'assemblée. Une tradition chrétienne qui est la déviance d'une fête païenne romaine

    Notre vie est ainsi rythmé par des évènements qui, pour la plupart sont les réminiscences de fêtes "installées" par la religion d'état qu'était le christianisme. Même si, aujourd'hui les festivités sont de moins en moins assorties d'une visite à l'église, elles continuent à "marquer" les étapes de notre vie. A l'heure où la laïcité revient sur la sellette on est bien obligé de constater que, dans ce domaine, l'impact du religieux sur le laïque" est encore flagrant. Il est vrai que le côté commercial a pris le pas sur le spirituel. La fève a été remplacée par le sujet en porcelaine. les chinois continuent à nous envahir en tentant de prendre la place de nos couronnes traditionnelles !!!

     

    AVOIR et ÊTRE - Un poème

     

    Nous avons retrouvé dans nos archives un message qui attendait au fond d'un ...répertoire...Il nous avait été  envoyé par Patrick.

    Voici une nouvelle occasion d'apprécier la finesse de la langue française.

    Posséder la langue est une chose, savoir la manipuler en est une autre. Quant on apprend que le poème a été composé par Yves Duteil, l'étonnement laisse place à l'appréciation.

    Pour bien saisir le sens des vers il faut d'abord prendre le temps de les lire. 

    Loin des vieux livres de grammaire,

    Écoutez comment un beau soir,

    Ma mère m'enseigna les mystères

    Du verbe être et du verbe avoir.

     

    Parmi mes meilleurs auxiliaires,

    Il est deux verbes originaux.

    Avoir et Être étaient deux frères

    Que j'ai connus dès le berceau.

     

    Bien qu'opposés de caractère,

    On pouvait les croire jumeaux,

    Tant leur histoire est singulière.

    Mais ces deux frères étaient rivaux.

     

    Ce qu'Avoir aurait voulu être

    Être voulait toujours l'avoir.

    À ne vouloir ni dieu ni maître,

    Le verbe Être s'est fait avoir.

     

    Son frère Avoir était en banque

    Et faisait un grand numéro,

    Alors qu'Être, toujours en manque.

    Souffrait beaucoup dans son ego.

     

    Pendant qu'Être apprenait à lire

    Et faisait ses humanités,

    De son côté sans rien lui dire

    Avoir apprenait à compter.

     

    Et il amassait des fortunes

    En avoirs, en liquidités,

    Pendant qu'Être, un peu dans la lune

    S'était laissé déposséder.

     

    Avoir était ostentatoire

    Lorsqu'il se montrait généreux 

    Être en revanche, et c'est notoire,

    Est bien souvent présomptueux.

     

    Avoir voyage en classe Affaires.

    Il met tous ses titres à l'abri.

    Alors qu'Être est plus débonnaire,

    Il ne gardera rien pour lui.

     

    Sa richesse est tout intérieure,

    Ce sont les choses de l'esprit.

    Le verbe Être est tout en pudeur,

    Et sa noblesse est à ce prix.

     

    Un jour à force de chimères

    Pour parvenir à un accord,

    Entre verbes ça peut se faire,

    Ils conjuguèrent leurs efforts.

     

    Et pour ne pas perdre la face

    Au milieu des mots rassemblés,

    Ils se sont répartis les tâches

    Pour enfin se réconcilier.

     

    Le verbe Avoir a besoin d'Être

    Parce qu'être, c'est exister.

    Le verbe Être a besoin d'avoirs

    Pour enrichir ses bons côtés.

     

    Et de palabres interminables

    En arguties alambiquées,

    Nos deux frères inséparables

    Ont pu être et avoir été. 

     

     

     AVOIR et ÊTRE - 

    La chanson

    Puisque Yves Duteil est, avant tout un chanteur, écoutons le poème mis en musique. La chanson est interprétée en direct. Cet extrait est issu du DVD du concert qu'Yves Duteil a donné au théâtre Dejazet à Paris en octobre 2008.

     

     

     LE KER DE MASSAT

     Aller au Ker de Massat c'est faire un voyage au sein d’une nature troublée par le temps et les hommes, c’est suivre les traces d’un passé historique local chargé mais c’est aussi découvrir un lieu mythique. 

    Au fil des numéros avec 

    « Le Cami », nous aborderons ces divers aspects.

     

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    DES EXPRESSIONS ET DES COUTUMES

    qui nous viennent des années 1500

    Le bain auMoyen Âge

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     Le Cami - N°46

     Nous avons compté une trentaine de candidats potentiels à la Présidence de la République. Une synthèse des mesures avancées est indispensable...

    La voici !!

    Le Cami - N°46

     

       

     LIBERTE - EGALITE - FRATERNITE

    Bientôt la campagne électorale battra son plein. Il serait étonnant qu'on n'entende pas parler de

                                                                "LIBERTE, EGALITE ou FRATERNITE" 

    une devise qui marque par sa rime mais qu'on a mis du temps à choisir. C'est au moment de la Révolution française que les trois mots ont commencé à être scandés. C’était comme des mots magiques qui avaient déjà été optés au XVIIIe siècle, par les sociétés de pensée. Souvent on les accompagnait d'autres mots tels "amitiés, union, charité ou sincérité". Il est vrai que si "sincérité" avait été choisi on aurait peut-être évité les mensonges qui sont le point de départ d'affaires frauduleuses dont certains hommes politiques peu scrupuleux ont été les Instigateurs. Si les trois mots ont été retenus c’est qu’ils correspondent à trois périodes de la Révolution, trois mouvements en quelque sorte du processus révolutionnaire. La Liberté, concept le plus populaire  « consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui puis l'Égalité qui «  signifie que la loi est la même pour tous, que les distinctions de naissance ou de condition sont abolies » Il faut attendre la fin de la période montagnarde pour voir donner sa chance à la Fraternité qui dit «Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fît ; faites constamment aux autres le bien que vous voudriez en recevoir. »

    A défaut de fraternité on avait choisi à un moment donné la "PROPRIETE". C'est ce que l'on criait le 3 juin 1793 à la fête de la loi. A la fin du même mois la Commune de Paris avançait le slogan que l'on connaît aujourd'hui en y ajoutant "ou la mort". Le maire de la commune de Paris, fait peindre sur les murs de la mairie, le 21 juin 1793, la formule : 

                                 « La République une et indivisible - Liberté, Egalité, Fraternité ou la mort »..

    Il ne faisait pas bon être contre la devise à cette époque...on n'y allait pas de « main morte".

    Pendant un temps la valeur «  EGALITE » posa problème. On hésitait entre elle et la "SOLIDARITE". C’est finalement l’égalité qui l’emporta.

    La devise a été mise à mal et disparut sous l'Empire et la Restauration avant de ressurgir avec la révolution de 1830

    C'est en février 1848 que la Seconde République décide officiellement que la formule "Liberté Égalité Fraternité" sera sa devise Ce n'est qu'en 1880 qu'elle apparaît sur les frontons de toutes les institutions publiques : sous la IIIe République, la devise est adoptée comme symbole officiel de la République

    En 1905 le gouvernement décide la séparation des Eglises et de l’Etat. Les prêtres ne sont donc plus salariés de l’état et la loi prévoit que la propriété des églises passe aux communes. Ainsi les églises deviennent des bâtiments communaux, la mairie en a donc l’obligation d’entretien. Des maires décident d’apposer la devise républicaine « Liberté, Egalité, Fraternité » sur le fronton de l’ église de leur commune au même titre que  sur les mairies. C’est le cas, dans notre région  de Leucate, de Collioure et de bien d'autres communes. 

    Le régime de Vichy optera pour la devise  « Travail, Famille, Patrie »

    Au milieu du XXe siècle la devise "LIBERTE - EGALITE - FRATERNITE" s'installe durablement dans l'histoire de la République française, avec la constitution de 1946

     

     

    Le Cami - N°46

     Au dessus de la porte d'entrée de églises de

    LEUCATE                  et            COLLIOURE

    est inscrite la devise

     " LIBERTE "

    -" EGALITE" -

    "FRATERNITE"

     

    Le Cami - N°46

      

     Voisins, voisines...par messages interposés !!!
     

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    SOUVENIR  

    LA "PIED NOIR" DANSE

    C'est la Pied noir danse, danse de chez nous

    Avec elle on danse, danse comme des fous

     

    Quand on a la chance de se retrouver

    Quand on repense aux années passées

    On n'fait pas la tête, on fait un méchoui

    Deux ou trois anisettes et c'est reparti.

     

    Quand on se rencontre, ça nous fait plaisir

    On refait les comptes de nos souvenirs.

    On prend des nouvelles de tous les amis,

    Puis on les appelle et on se réunis

     

    C'est la pied noir danse , danse du Pays

    Avec elle on danse, danse toute la vie.

    etc...etc...

     

    Le Cami - N°46

    C'était après la "Pied noir danse". Certains ont malheureusement fini de danser prématurément.

    D'autres ont dansé comme des "pieds noirs" : ils se reconnaîtront.

     

     LEUCATE : La pêche après la guerre

    La guerre est finie. Doucement le village se remet des vicissitudes de cette période où il a fallut évacuer la cite sur décision des occupants. Tout naturellement, l'activité la plus suivie reprend ses droits. Avant la guerre c'était déjà celle qui faisait vivre une bonne partie de la population. Il ne faut pas s'en étonner : quand on sait l'étendue qu'occupe l'eau dans la région de Leucate 

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    Le Cami - N°46

     

    LE PROBLEME DES RETRAITES : RETROUVER FOUGUE et VITALITE

    12 juin 1920Le Cami - N°46

    Le docteur Serge VORONOFF tente une opération inédite : greffer des testicules de babouin (le babouin est un singe) à un homme castré vingt ans plus tôt. Il a pour objectif de revigorer le patient et surtout  de lui offrir une deuxième jeunesse. Voronoff a en effet rencontré des eunuques en Egypte quelques années auparavant et a observé chez eux un vieillissement prématuré.

    Il en tire une hypothèse : la greffe des testicules pourraient rajeunir le patient !

    Le greffons semblent prendre mais on ne constate malheureusement aucun des bienfaits espérés.

    Voronoff finira sa vie dans l'oubli mais on parle encore lui un siècle après...la preuve !!!

     

    Le Cami - N°46

    Le Cami - N°46

     CARTE BANCAIRE : DES MESAVENTURES QUI PEUVENT NOUS ARRIVER

    Un individu s'entraîne dans un centre sportif.

    Arrivé sur les lieux il place tout bonnement son linge dans un casier. Après son entraînement et la douche, il retourne au casier et constate qu'il est déverrouillé.

    • "Bizarre, il me semblait que je l'avais verrouillé", se dit-il.

    En s'habillant il vérifie son portefeuille pour s'assurer que rien ne manque. Tout est là !

    Quelques semaines plus tard, il reçoit l'état de compte de sa carte de crédit qui affiche un montant de retrait exorbitant.

    Il  appelle la Banque pour se plaindre du retrait qui n’émane pas de lui.

    Le service client effectue des vérifications et conclue qu'il n'y at pas eu d'erreur dans le système tout en demandant si sa carte avait été volée.

    Il répond que non.

    Mais en sortant sa carte de crédit de son portefeuille il constate, qu’elle a été échangée contre une autre.

    Le voleur a réussi à déverrouiller le casier au centre de sport et a procédé à l'échange des cartes...

    La compagnie de cartes de crédit a avisé le client qu'étant donné qu'il n'avait pas signalé que sa carte avait disparu, il devait payer les frais encourus.

    PRENEZ L'HABITUDE DE VERIFIER VOTRE CARTE DE CRÉDIT CHAQUE FOIS QU'ELLE VOUS EST RETOURNÉE À LA SUITE D'UNE TRANSACTION !

    Assurez-vous que les cartes de crédit dans votre portefeuille sont bel et bien les vôtres.  Vérifiez le nom chaque fois que vous signez pour quelque chose ou que votre carte passe dans les mains de quelqu'un d'autre, même pour un court moment

     

     

    RECOMMANDATION DE "QUE CHOISIR ?"

    Effacer avec un grattoir, les 3 chiffres clés de votre carte qui se trouvent sur le recto?

    Une fois ces 3 chiffres disparus, personne ne pourra utiliser votre carte pour faire des achats par internet.

     Il faut évidemment se remémorer ces 3 chiffres de façon à les fournir si on vous les demande. 

     

     

     

    Le Cami - N°46

    Encore un film sur Carcassonne pour aller voir les vitraux de la basilique St Nazaire... 

    On ne se lasse pas de filmer Carcassonne.

    C'est, dans notre région, la place forte la plus importante. La cité et le chateau formaient un ensemble défensif. En cas de siège, la ville tombait avant le château où se regroupaient les habitants.

    Mais un des monuments les plus visités est la basilique St Nazaire qui abrite les vitraux parmi les plus beaux de France.

     

     

     

    VOUS L'A T-ON DEJA DIT ?  Macaron pour  vieux conducteurs

    Le Cami - N°46

     La chasse aux vieux est  ouverte ! !

     Amis nés autour  de 1946 ! vous n'allez pas rire .. >

    Les plus de 70 ans  représentent en France 16% des automobilistes et ils ne sont  mis en cause que dans 9% des accidents. Et pourtant !!!

    En septembre  2017, après les élections of course ... il faudra sans doute apposer sur le pare-brise un  macaron blanc avec la lettre S.

    Eh oui !! l'idée de signaler les  personnes âgées au volant est venue d'un illustre inconnu, autoentrepreneur en fabrications  en tout  genre.  Depuis quatre ans, il a  monté son association et a vendu près de 1 200  autocollants à 4 euros  pièce. > > Pour lui, il ne s'agit pas  de montrer du doigt les personnes âgées, mais de les aider. (On  t'a rien demandé Ducon ! )

    La Prévention routière s'est  emparée de l'idée, l'a montée en épingle auprès de la Direction  des transports, qui elle-même a établi un rapport qui est sur le bureau du ministre des transports préconisant cette mesure au plan  national, inscrite dans le code de la route, pour le bien et  la  sécurité de cette catégorie d'usagers... etc,  etc. 

     Revient également sur la  place publique le fameux débat sur le fait  que:  La France est avec  l'Allemagne et la Pologne, l'un des seuls pays de l'Union  européenne où la validité du permis est permanente. 

    Au Portugal et en Italie,  les conducteurs doivent passer une visite médicale à partir de  50 ans. 

    Aux Pays-Bas, au Danemark ou  en Irlande, celle-ci est obligatoire à  70 ans pour valider son  permis.

    Merci à tous ceux qui pensent pour nous et qui en profitent pour se mettre de l'argent "in the pocket"! ! !

     

     

     

    Quand HUMOUR et CULTURE font bon ménage

     

    Voici une réplique superbe et cinglante de Robert Surcouf, célèbre corsaire Malouin, répondant à un amiral britannique qui prétendait ceci :

    "Vous les Français vous vous battez pour l'argent, nous Anglais, nous nous battons pour l'honneur !!!"

    Et Robert Surcouf de répondre :

    "Monsieur, chacun se bat pour ce qu'il n'a pas !!!"

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    Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle, John MONTAGU, Comte de SANDWICH, et le réformiste John WILKES.

    MONTAGU dit à WILKES :

    « Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. »

    Réplique de Wilkes :

    « Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes ou votre maîtresse. »

     


     

    Lady Astor apostropha un jour Winston CHURCHILL:

    « Monsieur CHURCHILL, vous êtes ivre ! »

    Réplique de CHURCHILL :

    Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! »

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    Cindy CRAWFORD à Amanda LEAR lors d'un cocktail :

    « Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? »

    Réplique d'Amanda :

    « Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? »

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    Le Prince de CONTI était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :

    « Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. »

    Réplique de sa femme :

    « Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n'ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »

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    CHURCHILL fit un jour la remarque suivante à son Bernard SHAW (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence):

    « À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. »

    Réplique de SHAW :

    « À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. »

     

     

    Le Cami - N°46

     

    Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille CHURCHILL ), Lady ASTOR, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Winston CHURCHILL, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet.

    Au sommet de leur désaccord, Lady ASTOR s'écria :

    « Winston, Si j'étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! »

    Réplique du tac au tac de CHURCHILL :

    « Eh bien moi, Nancy, si j’'étais votre mari, je le boirais ! »


     

    Sacha GUITRY et Yvonne PRINTEMPS, son épouse du moment, se promènent dans un cimetière.

    « Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide, » déclare galamment le spirituel Sacha.

    « Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide.

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    «Je ne sais plus quel animateur de télé pose cette question fondamentale à Michel BLANC :

    « Être chauve, est-ce un handicap ? »

    « Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval ! »

     

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    Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis JOUVET, professeur, à François PERIER, jeune élève :

    > > > - Si MOLIÈRE voit comment tu interprètes ton Don JUAN, il doit se retourner dans sa tombe.

     Et PERIER de répliquer du même ton :

     - Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.

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    Anna TYSKIEWICZ, future comtesse POTOCKA, cachait avec soin un strabisme divergent.

     > Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité.

     Un jour, elle s'avisa de lui demander :

     - Comment allez-vous, Prince ?

     - Comme vous voyez, madame, répondit TALLEYRAND.

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     -« Le maréchal va beaucoup vous manquer…» dit-on à l'épouse du Maréchal DE BOUFFLERS après qu’il fut décédé.

     -« Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits » répliqua-t-elle.

     

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    Monsieur de RIVAROL, combien d’années me donnez-vous ? » Demandait une vieille coquette à l'homme célèbre. 

    -«Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N’en avez-vous donc pas assez ?"

     

     


    A la fin d'un dîner organisé par Winston CHURCHILL, le maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités. L’un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare :

      "C'est pour la route. »

      « Merci d’être venu d'aussi loin, » lui lance CHURCHILL

     

     

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    Le Cami - N°46

     

    D'Aurillac

    au

    Larzac

    des images qui datent de 2005 

     

    Faites chauffer vos neurones !

    La réponse est  d'une logique imparable,

    L'assassinat en automobile

    Vous trouvez une personne morte dans une automobile ;  manifestement, elle a été assassinée, car elle a plusieurs balles de revolver dans le corps. 
    Le revolver du crime se trouve juste à coté de l'automobile. 
     Toutes les portes étaient fermées et verrouillées et toutes les vitres levées au moment du crime. 
    L'assassin n'a pu entrer à l'intérieur.

    Il n'y a aucun trou dans la tôle, ni dans les vitres.
     Comment le meurtrier a-t-il pu commettre son crime ?                             Réponse

     

     La voiture

     Un automobiliste roule tous phares éteints sur une route déserte. 

    Les lampadaires le long de la route sont éteints et il n'y a pas de lune.

    Tout à coup, une personne habillée tout en noir traverse la route

     juste devant la voiture qui freine et laisse passer cette personne.

     Comment l'automobiliste a-t-il su qu'une personne traversait ?

                                                                                 Réponse

     

     

     LAISSEZ PARLER LES P'TITS PAPIERS !

     Cliquez sur l'image pour lire !

     

    Le Cami - N°46

     

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    Réponse

    1 - La voiture est une décapotable

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    2 - Il fait jour!

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