• Le Cami - N°49

     

     

    Sommaire

     

     

     

     

     

       

     

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    Le Cami - N°49

    Photo saisie au dessus du village de Massat (Ariège) 
    Nous vivons dans un arc-en-ciel de chaos.
    Paul Cézanne
     
     

    Nous vous proposons de vous conduire à Massat où nous visiterons un village pastoral sorti de la végétation qui l’avait enseveli.

    Avec un clin d’œil nous irons voir ce qu’il y a de nouveau au « cagadou ». Nous reviendrons ensuite à Leucate pour visiter les vestiges de la seconde guerre mondiale laissés par les allemands en 1944. Nous passerons ensuite à Avignon où la rue de la tarasque nous donnera l’occasion de découvrir cette bête maléfique que nous ne connaissions pas. Nous traverserons les bois en nous méfiant des sangliers pour nous rendre compte que le buis est en piteux état. Il sera temps de nous détendre en ouvrant « Le Cami Rigolo » avant de revenir à Massat pour assister au passage du Tour de France 2017. Si cela vous dit vous pourrez alors sourire en ouvrant «  Le Cami  grivois » avant de vous rendre à Antibes pour découvrir une nouvelle histoire d’eau. De fil en aiguille, vous pourrez découvrir le petit village de « GOURBIT » en Ariège où « Le moulin de l’Angoust » vous attend.

    Tout cela en ouvrant de temps à autre le QUIZ enrichissant dont nous vous demandons de ne pas abuser par lequel nous commencerons.

     

     

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    PLUS QUE DE TESTER VOS CONNAISSANCES, CE JEU VOUS PERMETTRA DE PASSER DES HEURES A REDECOUVRIR LE MONDE QUI VOUS ENTOURE.  Une distraction dont il ne faut pas abuser !!!

    Amusez-vous un peu tous les jours....   Cliquez sur l'image de gauche. 

     

     

    Les mystères du cerveau humain.. 

     Sleon une édtue de l’Uvinertisé de Cmabrigde, l’odrre des ltteers dnas un mot n’a pas d’ipmrotncae.

    La suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire lrtete soenit à la bnnoe pclae.

    Le rsete peut êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème. C’est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot. »

    Imrpessnnioant, pas vari ?

    Essayez pour voir !

         Seleuemnt 56 porsnenes sur cnet en snot cpalabes.  

     Je n'en cyoaris pas mes yuex que je sios  cabaple de cdrpormendre ce que je liasis.

     Le povuoir phoémanénl du crveeau  huamin.    Soeln une rcheerche fiate à l'Unievristé de  Cmabridge, il n'y a pas d'iromtpance sur  l'odrre dnas luqeel les lerttes snot. La   suele cohse imotprante est que la priremère et la derènire letrte du mot siot  à la bnone palce. 

     La raoisn est que le ceverau hmauin ne lit pas les mtos par letrte mias ptuôlt cmome un tuot.   

     Étonnant n'est-ce pas ? 

     Et moi qui ai tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt !   

     

     

     

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     NO COMMENT !

     

     

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    Nous avons complété la page

    A PROPOS DE CAGADOU

     

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     CONSULTER

     

    - Â notre époque, sembler con est la meilleure façon de passer inaperçu .

     

    LE MOT QUI NOUS MANQUAIT

     

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    Nous « badions » dans la  

    « RUE DES TEITURIERS » à Avignon lorsque le nom d’une autre rue éveilla notre curiosité .

     

     - Un jour, Dieu demanda à Goo de parler plus fort et depuis,… Google 

    LEUCATE 

    Novembre 1942 la 326 ème Division d’Infanterie allemande participe à l'invasion de la Zone libre de la France puis effectue des tâches d'occupation dans le sud de la France dans la région de Narbonne....

    De part et d’autre du grau de La Franqui se déploient deux régiments dont les postes de commandement seront installés à Port la Nouvelle et Sainte- Marie de la Salanque.

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    LIRE L'ARTICLE et VISIONNER LA VIDEO

     

     MASSAT

    Rendez-vous en terre méconnue...

    LE VILLAGE PASTORAL de PEYRE-AUSSELERE

    Patrimoine construit de pierres sèches et de sueur.

    A quoi bon aller dans des pays ou des régions que personne ne sait situer ?

    Il suffit de se rendre en Ariège entre l'étang de Lers et Massat et faire travailler son imagination pour découvrir les conditions dans lesquelles vivaient pendant quatre à cinq mois de l'année les pauvres paysans de la contrée à la recherche d'un peu de bien-être pour leur maigre bétail.

    Le village pastoral, autrefois vivant a été enseveli par la végétation et les ronces. Une association l'a sorti de son anonymat pour le faire découvrir à tous ceux qui s'intéressent à la vie d'autrefois.     VOIR LE FILM

     

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    INSTANTANE

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    AU HASARD D'UNE RUE DE LA REGION

     L'HOMME,

    FIGE SUR LA SOUCHE D'UN PLATANE POUR PRENDRE UN PEU DE HAUTEUR PROFITE DE SON TEMPS POUR OBSERVER

    LA DAME,

    COMMUN DES MORTELS, A MÊME LE SOL, QUI SE PRESSE POUR NE PAS PERDRE DE TEMPS... 

     MONDOVI -

    Un rituel :

    les fêtes de St Augustin 

    Un article de la Dépêche de Constantine

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    UNE RENCONTRE QU'IL VAUT MIEUX EVITER !! Le Sanglier.

     Au cours d'une randonnée nous avons découvert ce sanglier qui nous a permis de nous approcher....et pour cause il s'agit d'une souche d'arbre savamment sculptée par la nature et sans doute légèrement retouchée par l'homme.

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    En Ariège, il n'est pas rare que les sangliers s'approchent des habitations pour "labourer " les jardins des maisons.

    Le contexte dans lequel l'animal est découvert peut contribuer à le rendre dangereux...un peu comme tous les animaux .

    Nous avons découvert sur internet une série d'anecdotes concernant l'animal.

    Pour lire la page cliquez ICI

     

     LE BILLET DE CHARLY

     

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    Ajouter sa pierre à l'édifice!

    Chaque année, au bord de l’étang, quelqu’un s’amuse à amasser des pierres, les superposant en équilibre avec patience et méthode. Je me suis dit qu’il serait intéressant de les photographier pour vous les présenter. Malheureusement le jour où j’ai voulu le faire, l’eau de l’étang était  montée, ne laissant apparaître que le sommet des monticules. On ne voyait plus que les deux pierres supérieures. Je me posais la question de savoir à quoi pouvait servir ces « montages », j’avais là une réponse possible. Ils pouvaient témoigner de la montée des eaux de l’étang.

    Ces pyramides sont là comme des sentinelles jusqu’au jour où, quelqu’un, par jeu, s’amuse à les démanteler. Le jeu du « démontage » fait suite au jeu du « montage ». Il faut bien reconnaître que ce dernier est bien plus difficile que le précédent. Il faut trouver la bonne pierre quant à sa forme et à sa taille, la poser délicatement pour qu’elle se maintienne en équilibre, et assure l’équilibre de la suivante. Alors que je regardais une de ces tours, l’expression « ajouter sa pierre à l’édifice » m’est venue à l’esprit. Le dictionnaire nous dit que c’est « contribuer à un projet » : un travail de bâtisseur en quelque sorte. A l’extrême cette pyramide me faisait penser aux projets qui consistent à faire « quelque chose » de notre vie en choisissant le bon chemin parmi tous ceux qui se présentent…Pas facile quand on a le souci de préserver un équilibre. Ici il s’agit de celui d’une tour, un équilibre éphémère qui va dépendre du choix de la pierre mais aussi du destin de « l’édifice » et du bon vouloir de ceux qui le côtoieront. Il peut suffire d’un coup de pied pour que tout s’écroule. Notez bien qu’il a suffi que l’homme décide de l’inutilité de certains édifices pour que disparaissent à jamais des monuments ou des châteaux, témoins d’un patrimoine. Est-ce pour cette raison que le maître d'œuvre de ces tours s’attache chaque année à renouveler son expérience ?

    J’ai pu lire que, dans certaines régions, on utilise des pierres pour surveiller le niveau des rivières. Cela s’applique, tout particulièrement, aux régions entourées de glaciers. La fonte des neiges peut faire très rapidement gonfler les rivières qui deviennent infranchissables. Pensons au fait que, comme la pyramide de pierres, nous pouvons, nous aussi, jouer le rôle de repères… pour les jeunes en particulier. De notre équilibre peut dépendre l'équilibre de ceux qui nous entourent.

     

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    Nous avons pu découvrir au cours de randonnées des petits tas de pierres. Le plus souvent ils indiquent le chemin à suivre…tout particulièrement aux endroits ou le balisage traditionnel est impossible. Il est évident que dans ces cas, déplacer le tas serait jouer un « sale » tour au marcheur en le privant d’une indication précieuse pour son orientation. De même, pour ceux qui nous ont choisi d’exemple.

    Il est de tradition, de déposer une nouvelle pierre sur la pyramide existante. Des pierres il y en a partout. Il faut simplement, sans

     

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    toucher au tas existant, donner à celle qu’on a choisi, la position qui lui permet un équilibre aussi durable que possible…ce n’est pas toujours facile et cela explique que les pyramides se transforment parfois, avec le temps, en des tas difformes…comme cela se passe parfois dans la vie de l'être humain.

    Je suis persuadé que des randonneurs amoureux de certains sentiers ont la curiosité de venir contrôler si le tas laissé à leur dernier passage existe toujours : un « retour en arrière  » en quelque sorte, comme on le fait parfois virtuellement dans sa vie pour « voir  si les choses ont changé ». Cela ne ressemble-t-il pas un peu à de la nostalgie ?

     

     LE VENT D'ICI

    Ici, comme sur toute la côte, lorsque le vent souffle, même si le ciel est "limpide", on dit qu'il fait mauvais.

    Le beau chapiteau installé sur la place du village du BARCARES à l'occasion des fêtes de fin d'année n'a pas résisté aux intempéries de ces derniers jours.

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    UN PEU DE GRIVOISERIE !!!

    Ouvrez la nouvelle compilation de messages que nous avons reçus et qui notre rédaction n'a pas censurés.

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    LE BUIS MALADE

    En traversant les Causses nous avions remarqué que beaucoup d'arbustes avaient jauni.

    Pas besoin d'être érudit en matière de botanique pour reconnaître le buis.

    Avait-il jauni en raison de la sècheresse ? Encore ce sacré réchauffement...pensions-nous...

    Non non, nous dit une fleuriste...il est malade...

    - Malade de quoi ?

    - De la pyrale

    Voulez-vous en savoir davantage ?

    CLIQUEZ

     

    Le Cami N°49 RIGOLO N°16

     

    Encore plus rigolo !!!!

      

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     HISTOIRE D'EAU

    à ANTIBES

    Comment imaginer Antibes sans eau ?

    C'était pourtant le cas durant les années 1700.

    Bien avant, les Romains avaient été pourtant capable d'alimenter la ville.

    Une fontaine de la ville porte le nom d'un certain D'Aguillon qui est-il ? 

    Encore une histoire d'eau à découvrir !!!

     DE FIL en AIGUILLE

    Et si on se faisait un petit resto...

     

    Un petit resto dans un petit village du petit pays d'Ariège : l'occasion d'apprendre plein de petites choses ...

     

    Pour tout savoir cliquez !!!

    MASSAT 

    ENCORE UN TOUR !

     

    Le 14 juillet 2017

    le Tour de France

    est passé par Massat.

    Ce jour là, l'Ariège est mise à l''honneur  puisque toute l'étape est tracée dans le département.

    VOIR LE FILM

     

     

     

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    Le dernier dessin de notre artiste en herbe : Mika

     UN NOUVEAU

    ROND-POINT

     

    La truite du

    Lac de la Raviège

     

     

     

    VOIR

     

    Petite revue de presse régionale Le Cami - N°49 

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    Façon de parler

     

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      LA PREMIERE FOIS QU'ON A MIS UN LAPIN EN CAGE

    C'était il y a 1500 ans, dans les monastères du sud de la France.

    Au VIe siècle, l'église impose aux moines plusieurs jours "maigres", sans viande. Mais où trouver du poisson quand on est loin de la mer, ou si les rivières sont gelées  ?

    La solution viendra du Vatican qui édite une liste officielle des mets terrestres et aquatiques. On y apprend que les laurices, fœtus de lapin tirés du ventre de leur mère, sont considérés comme des "poissons", car ils baignent dans le liquide amniotique.

    On peut donc les consommer pendant le carême sans commettre de péché. C'est ainsi qu'on a commencé à enfermer les lapines enceintes dans des cages, pour les distinguer et récupérer les futurs nouveaux nés plus facilement, par césarienne.

    Pendant le Moyen Age, les couvents d'Europe ont le quasi-monopole de leur élevage.

    Dernière minute

      Le message encourageant d'un espagnol, ravi d'avoir découvert sa ville dans un film de

                                                                   "Le Cami"

     

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     Ce que dit le message : Beau reportage de ma ville. Merci de la connaître et de donner à la connaître.

    Nous avions visité la ville en 2013. Il est vrai qu'elle mérite le détour.

    Ne nous privons pas de revoir les images qui datent

    du 30 novembre 2013 et qui ont été vues par 4800 personnes.

     

     

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