• Le Cami - N° 27

    Sommaire

    Le Cami - LES PORTRAITS

     

    Le Cami - LES PORTRAITS

     

    BIENVENUE dans "Le Cami"  -  Vidéo

      BIENVENUE dans "Le Cami"  -  Photos   

     

    Le Cami - Page 27

     QUELQUES IMAGES SOUVENIRS D'UNE AUTRE EPOQUE, A L'OCCASION DES FÊTES

    A l'occasion des fêtes de fin d'année," Le Cami "est heureux de vous proposer ce petit film

    La vidéo est parfois un jeu qui consiste à donner libre cours à son imagination. En voici un exemple.

    Les images enregistrées en Ariège ont un peu plus de 20 ans.

      

     

      
     

    LE BILLET DE CHARLY

    ET SI NOUS PARLIONS HUÎTRES  !!

    J'adore ce coquillage et je sais que beaucoup sont comme moi. J'ai voulu savoir depuis quand on en mangeait.

    Les coquillages, et plus particulièrement les huîtres partagent avec la dinde et le foie gras le périlleux honneur de garnir les tables de fin d’année. Le fait que pendant longtemps l’amateur a cru qu’ils n’avaient jamais meilleur goût qu’en hiver n’est sans doute pas étranger à la chose.

    Beaucoup de recherches archéologiques ont donné lieu à la découverte de coquilles qui prouvent que de tous temps l’homme a dégusté des huîtres. On suppose que les coquillages étaient conservés dans une saumure rappelant l’eau de mer et qu’ils étaient transportés dans des jarres remplies de cette saumure.

    Il ne s’agissait alors que de fruits de mer récoltés et non élevés. Il semble que le premier élevage d’huîtres ait été découverts au fond du lac de Baïa non loin de Naples en Italie. Il daterait de 108 avant J.-C et aurait constitué un des premiers échanges commerciaux en ce domaine.

    L’huître à des fins industrielles vit le jour vers 1856 au sein de la baie d’Arcachon. Elle s’implanta aussi en rade de Saint-Brieuc. Les premières expériences furent aussi menées en baie de Seyne près de Toulon et dans l’étang de Thau au large de Sète.

    De nombreux centres d’essais se sont implantés le long des côtes Atlantiques et Méditerranéennes. Ils ont contribué à l’évolution des élevages qui sont successivement passés de l’huître plate à la « portugaise » (1920) puis à la « nippone » (1972) ou la « canadienne ». Dans les grands centres ostréicoles sont nées ensuite des appellations telles que « Marennes », « Fine », « Clair », « Belon », « Armoricaine », « Arcachon », « Bouzigues ». Le musée de la conchyliculture du bassin de Thau se trouvant à Bouzigues (Hérault) que nous avons visité expose les méthodes anciennes et modernes d'élevage des huîtres et des moules au large de Bouzigues, Mèze et Marseillan. On y apprend que pour des raisons de salubrité les élevages d’abord implantés dans les canaux de Sète se sont déplacés vers l’étang. On y découvre par ailleurs les nouvelles techniques de préparation des cordages sur lesquels les jeunes huîtres sont fixées pour donner naissance aux coquillages que vous dégusterez peut-être aux fêtes.

    Pour ce qui est des moules elles seraient à l’origine d’un bien curieux accident. Un voyageur irlandais, Patrick Walton ayant fait naufrage en 1235 dans l’anse de l’Aiguillon, au nord de La Rochelle entreprit de capturer les oiseaux en tendant des filets entre les pieux de bois plantés en mer le long du rivage. Walton constata bientôt que la base des filets se couvraient de moules et y proliféraient. Réunissant les piquets à l’aide de clayonnages, il inventa le bouchot.

    Chaque période précédant Noël ou le jour de l’an donne naissance à une intense activité autour des cabanes des centres ostréicoles qu’on appelle des « mas ». Durant toute l’année, les amateurs ont par ailleurs plaisir à déguster de temps à autre, une douzaine de coquillages en sirotant un bon verre de vin blanc bien frais.

     Vous pouvez découvrir ou redécouvrir la façon dont les huîtres de Bouzigues sont élevées en cliquant >>>> ICI

     

     

     

     

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     Intéressant et rassurant pour ceux qui ont l'impression de perdre la mémoire

     Depuis un certain temps...  J’oublie les noms de famille...
     Je ne me souviens plus où j’ai rangé certaines choses...
     En parlant, il m’arrive de m’arrêter et ne plus savoir de quoi je parlais...
      Avant, je craignais qu’il s’agisse d’un début d’Alzheimer... mais aujourd’hui à la lecture de cet article, je suis rassuré.
    "Si quelqu’un a conscience des ses problèmes de mémoire, c’est qu’il n’a pas l’Alzeimer"
     Il s’agit de l’anosognosie ou l’oubli temporaire.  La moitié des gens de 50 ans et plus présentent certains symptômes qui sont  plutôt dus à l’âge qu’à la maladie.

    Le terme d'anosognosie est issu du grec -nosos signifiant "maladie" et -gnosis qui porte la signification de "connaissance", "conscience". Le préfixe a- privatif donne à l'ensemble la signification d'absence de conscience de la maladie. 

    Ça arrive souvent chez les personnes de 50 ans , elles se plaignent que la mémoire leur fait défaut.
    Une amie décrit la situation ainsi :

    «les informations sont toujours dans le cerveau, c’est le ‘processeur’ qui fait défaut.»

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     Les cas les plus répandus sont l’oubli du nom d’une personne, le fait de se rendre dans une pièce de la maison et ne plus se rappeler pourquoi on y allait, un blanc de mémoire pour un titre de film ou d’un acteur, d’une actrice, une perte de temps à chercher où on a laissé ses lunettes ou ses clés.
    Après 50 ans, la plupart des gens présentent une telle difficulté, ce qui indique qu’il ne s’agit pas d’une maladie mais plutôt que c’est une caractéristique due au passage des années.
    Bien des gens sont préoccupés – même à l’excès – des ces oublis.  D’où l’importance de l’affirmation suivante :
    «Ceux qui sont conscients de souffrir de ces oublis sont ceux qui n’on pas de problèmes sérieux de la mémoire alors que ceux qui souffrent d’une maladie de la mémoire – dont l’Alzheimer – ne se rendent pas compte de ce qui se passe.»??????????
     Le professeur Bruno Dubois, directeur de l'Institut de la Mémoire et de la Maladie d' Alzheimer (IMMA) à la Pitié-Salpêtrière, rassure la majorité des cas de personnes préoccupées par leurs oublis :

    «Plus on se plaint de pertes de mémoire, moins il y a de probabilité de souffrir d’une maladie de la mémoire.» 

    Le Cami - Page 27Transmis par Régine 

     

    Le Cami - Page 27 Transmis par M.Antoinette

    Pour ceux qui préfèrent les douceurs ...

    à condition d'avoir la neige devant sa porte

    L'esquimau des neiges !

       Faites chauffer du sirop d'érable.

      

       Versez-le, finement sur de la   neige propre et bien tassée.

       Enroulez autour de bâtonnets en bois et dégustez.

    Relevé dans l'hebdo "Contact" de Carrefour

    DES RONDS-POINTS

    EPHEMERES

     

    En traversant la commune du Barcares dans les Pyrénées-Orientales on peut découvrir de beaux ronds-points visibles à longuer de temps. Certains,cependant on une vie éphémère. On ne peu les voir qu'au moment des fêtes de fin d'année.

    En voici deux aménagés en 2013.>> Cliquez ICI

     

     PORT DU CASQUE OBLIGATOIRE !

    Dans l’archivage de nos photos, une des galeries avait pour nom « CANYONING ». En l’ouvrant nous avons redécouvert des photos saisies au cours d’une sortie de jeunes d’une certaine époque qui font partie aujourd’hui des quadragénaires. Ils ont tous des enfants. Les autoriseraient-ils à faire ce qu’ils font sur ces photos.

    Referaient-ils eux-mêmes aujourd’hui ce qu’ils ont fait il y a une quinzaine d’années ?

    VOIR LES PHOTOS

     oOoOoO

    GALERIE DES ENSEIGNES

    Une nouvelle enseigne découverte à CORDES SUR CIEL

    Voici une nouvelle enseigne qui fait référence à un ustensile dont tout le monde a entendu parler. Il porte le nom d’une petite ville du centre de la France : LAGUIOLE.

    Vous avez deviné qu'il s'agit du fameux couteau laguiole

    VOIR L'ENSEIGNE

     

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     LEGENDE

    L'Âne de Gignac

    Nous sommes passés à Gignac !

    Sur la plaque en céramique de la  porte d’entrée d’une habitation de la petite ville figurent les prénoms des propriétaires de la maison assortis d’une tête d’âne....

    Découvrir la légende

     

     Nous avons cueilli le gui de l'an neuf. 

    En Ariège, autrefois, "à côté" de  l'élevage, la pomme était une culture complémentaire. On voit encore sur beaucoup de prés des alignements de pommiers "ancestraux" qui luttent pour leur survie. Couverts de mousse, ils sont envahis par le gui qui trouve sur leur écorce  un terrain de prédilection. Le gui colonise plus particulièrement le pommier et le peuplier.

     La graine déposée sur la branche germe. La toute jeune racine perfore l'écorce et s'installe dans les conducteurs de la sève de l'arbre.

    Le gui n'utilise qu'un peu d'eau qui circule dans les branches. Bien qu'elle soit parasite la plante ne cause pas trop de dommage à l'arbre. Elle a cependant la facheuse manie de l'envahir petit à petit. Une fois coupé, le gui repousse rapidement sur une autre branche...pour s'en débarrasser il faut couper carrément la branche..

    "Quand à Noël on voit les moucherons (ou les mouches...), à Pâques on voit les flocons"

     1944

    Il ya 70 ans certains naissaient, d'autres envisageaient la fin d'une guerre qui n'en finissait pas de durer.

    Installez-vous confortablement dans votre fauteuil pour visionner les vidéos de 12 évènements que

    "Le Cami"

    a sélectionnés pour vous.

    Click

     

      SUR LE CHEMIN

    de LEUCATE-PLAGE,

    tout près de l'étang, gardienne de la tradition, une bougie  brûle jour et nuit dans la petite chapelle 

    "Notre Dame du Bon voyage".

      

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    Cliquez sur l'image pour atteindre la page   

     Souvenirs d'enfance Click

    Novembre 1952 Marie-Antoinette a entre 6 et 7 ans. Elle est née en Algérie et y a vécu jusqu' en 1962. Elle quitte alors le pays pour aller vivre  en Alsace, région d'où sa maman est originaire.

    Elle nous rapporte des anecdotes qui ont marqué son enfance.


     Si au lendemain de la fête, en prenant votre café, vous voyez celà... Recouchez vous!!!!!! 

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     ARIEGE

    NOËL

    2007

     

       Marcel et Yvonne ne sont plus de ce monde, hélas...

    Il nous reste d'eux les récits qu'ils nous ont faits de façon impromptue.

    Souvent, un enregistreur tournait, discrètement installé au coin de la table.

    Voici transcrit, un de ces enregistrements .

    LIRE

     

    Le Cami - Marcel 94 ans

    MONDOVI

    NOËL

    1951 

     

     Dans l’immense dock qui reçoit le tabac durant la saison de production on a installé un grand sapin. On a pris le temps de l’habiller de guirlandes qui scintillent, pour rendre la fête plus gaie. Nous sommes au cœur de l’entreprise la plus importante du village de Mondovi... 

    > LA SUITE

    Noël 1951

     ALLEMAGNE

    NOËL

    1966

     

     NOËL

    SOUS LES

    DRAPEAUX

     Fin octobre, il a fallu préparer en vitesse sa valise pour se rendre dans la caserne la plus proche du domicile.Non, non ce n’était pas la 3ème guerre mondiale…on nous demandait simplement de répondre à une invitation dont on se serait passée : l’incorporation sous le drapeau français…on appelle cela communément le « service militaire ».

    Je dis "NOUS" pour mettre dans le même sac tous les copains de la chambrée.

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     On vous emmène à

    ERICEIRA

    (Portugal)

     

     Nous avons passé une semaine à Ericeira.

    Oui mais c'était en 1992.

    Il semble que la ville soit devenue une localité touristique appréciée.

    La ville  portugaise est située à 35 km au nord-ouest  de Lisbonne.

    Paroisse civile de la municipalité de Mafra, elle couvre 12,19 km² et regroupe 6 597 habitants.

    Le film présente une sélection d' images enregistrées en 1992.

     

     

     

    Vous avez fini de lire cette page et vous ne savez pas quoi faire...

    Cliquez sur le lien ci-dessous.

    Petit dauphin viendra à votre rescousse et

    vous occupera pendant des heures, voire même des jours

    et si vous le désirez des nuits entières.... 

    C'est pas forcément passionnant mais c'est ...gratuit  

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     Au prochain numéro !

     

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