Réponse à la devinette de la page précédente.

Quand un homme à deux femmes, c'est la BIGAMIE !

Quand un homme a plusieurs femmes, cest la POLYGAMIE !

Quand un homme a une femme, c'est la  MONOTONIE

Quand il a bien travaillé et qu'il est content de lui, il arrive que Charly soit quelque peu grivois.

Cherchez donc la réponse dans cet esprit.

Voici la devinette :

Quelle est la différence entre un castor et un urologue ?

Réponse dans le prochain numéro.

Savez-vous ce qu'est une "gougoune "?

-  Non ?

Est-ce que cela pourrait vous aider si je vous disais qu'une gougoune tient grâce à deux brides en Y ?

- Pas plus ?

Les beaux jours arrivant on est bien dans les gougounes...même au Québec...

Parce qu'en fait le mot "gougoune" vient de là-bas. Il désigne ce que nous appelons les "tongs". A  Bruxelles on les appelle des "slaches". C'est vrai qu'on "s' lache" avec des tongs. En Lorraine on dit des "schlappes". Chez nous, j'ai entendu parler de "claquettes", parfois de "clic-clac". La particularité des tongs c'est que leur tenue au pied est conditionnée par une lanière qui s'immisce entre deux doigts, un peu comme le string (mais là, il ne s'agit plus de doigts)...

Il parait que les tongs sont nées en Egypte (semelle de papyrus, lanières en cuir). Puis les Romains les ont adoptées. Suivirent les indiens, les Perses, la Chine, le japon et le monde entier.

Le plus gros producteur mondial de tongs est le Brésil (plus de 4 milliards de paires produites par la sociète Sao Paulo Aspargatas en 2012). Dans les régions françaises d'outre-mer (plus gros consommateur en France) la tong est appelée « samara », « savate », « savate deux doigts » ou « claquette ».

Au fait...le mot "tong" signifie lanière en anglais (thong).

Puisqu'il s'agit de chaussures et plus particulièrement de chaussures d'été rappelons que nous avions parlé des VIGATANES dans un "MESSAGE D'AMELIE".

Vous ne savez pas ce que c'est ?

Cliquez sur les deux vignettes ci-dessous.

Et LE GODILLOT vous connaissez ?

C'est une chaussure...bien sur..A l'origine c'est la chaussure du bidasse. Elle est plus proche de la GODASSE que du mocassin.

Le GODILLOT est né vers 1853 et a été utilisé jusqu'à la seconde guerre mondiale. C'était ce brodequin, grosse chaussure montante, lassée sur le coup de pied.

Tous les GODILLOS de l'armée française émanaient de la même entreprise. Celle-ci livrait également des selles, des tentes.

Cette entreprise était installée à Saint Ouen, dans la banlieue parisienne. Son propriétaire, qui était aussi le maire de la ville s'appelait

Alexis GODILLOT. Il est décédé en 1893 à l'âge de 77 ans.

LES CONSEILS DE GRAND-MERE : en cas de noyade

Avec les beaux jours et les séjours à la mer nous avons pensé qu'il serait bon que vous soyez au courant de ce que préconise Grand-mère en cas de noyade. Lisez attentivement ses conseils avant de vous rendre au port ou à la plage.

LES MESSAGES D'AMELIE en images                > Ouvrir la page

On aime tous entendre parler de quelqu'un que l'on connait surtout quand il s'agit d'un évènement qui suscite l'admiration. Jean-Christophe AGOSTA aurait pu être un enfant du pays où je suis né si la destinée avait permis à son père d'y rester.

Jean-Chistophe a couru de Monaco à Paris (100 kms par jour pendant 10 jours) pour aider des enfants malades...

>>> Lire l'article

LE ROND-POINT DE LORIGNAC

en CHARENTES MARITIMES

Que nous croisions un escargot quoi de plus normal ? Depuis Royan la pluie n'avait pas cessé...

RENNES : Le feu au parlement de Bretagne.

Nous sommes dans l'office de tourisme de Rennes attendant le guide que nous allons suivre pour visiter le parlement de Bretagne. Nicole et Jean-Charles nous ont aimablement réservé les places. Sur un écran de télévision, devant nous, un immense incendie ravage un beau et grand bâtiment. En tendant l'oreille on peut apprendre qu'il s'agit justement  de l'édifice que nous devons découvrir...

>>LIRE LA SUITE et REGARDER LE FILM réalisé par "Le Cami"

JACQUELINE et PAUL : même combat

Depuis ce matin le ciel breton fait preuve de clémence. Après une belle promenade sur la grève qui, maintenant, est presque submergée par les flots, nous sommes installés devant la petite maison de Jacqueline et Paul. Une maison qui leur offre un pied à terre sur la presqu'île bretonne de St Jacut de la mer dont les parents  étaient tombés amoureux. A leur tour, Jacqueline et Paul apprécient le côté encore sauvage du lieu. Ils aimeraient bien y venir plus souvent mais, même à la retraite leur emploi du temps ne le leur permet pas toujours. Souvent leur esprit est là-bas, de l'autre côté de la mer. Là-bas c'est le Bénin...Le Bénin...Il avait fallu que j'aille prospecter dans "Google" lorsque pour la première fois, Nicole m'en a parlé. Je me suis alors rendu compte qu'autrefois on appelait ce pays "Dahomey".

Alors que nous "sirotons" une bière, d'un ton apaisé, lent, réfléchi Jacqueline laisse transparaitre ses préoccupations du moment. Ses relations avec les sœurs de l'orphelinat où elle intervient  ne sont pas à l'image de ce qu'elle souhaiterait. Curieux de savoir la façon dont sont organisées les relations avec le Bénin, nous la pressons de questions. Tandis que Paul prend le relais dans l'exposé de leurs actions présentes et futures, Jacqueline se lève discrètement et revient avec un livret dont le titre est "Mon cœur resté à Péréré". Nous l'ouvrons. Au dessus d'une gentille dédicace, Jacqueline a écrit "La mission ne fut pas facile mais quel bonheur d'être allée jusqu'au bout !"

Jacqueline et Paul sont à l'origine de la création d'une association.

L’histoire de l’association a commencé en juillet 2003 (extrait du site).

Jacqueline GUIBERT qui était nouvellement retraitée, a cherché comment être encore utile après sa carrière professionnelle. Sa disponibilité lui permettait de réaliser enfin un vieux rêve : venir en aide aux pays défavorisés.

Mais de quelle manière ?

Elle a déposé son C.V. auprès d’une association nationale ; AGIR abcd ce qui signifie : Association Générale des Intervenants Retraités, Aide Bénévole pour la Coopération et le Développement.

Son expérience dans la recherche médicale, n’était pas directement applicable aux besoins du tiers-monde, mais quand AGIR lui a demandé si elle acceptait de partir pour le Bénin, afin de former un laborantin aux analyses médicales, elle n'a pas hésité. Pour actualiser ses connaissances, elle a demandé à faire un stage chez un ami, dans son laboratoire d’analyses, mais avec les méthodes anciennes, avec le minimum de matériel.

Face à la réalité :

Jacqueline n’était pas préparée à affronter la misère, le dénuement, la mort des enfants. Elle le raconte dans son livre

"Mon cœur est resté à Péréré"

Après 2 mois ½ de mission, Paul son mari est allé la chercher, et en seulement 12 jours passés au Bénin, il a compris quelles difficultés Jacqueline avait rencontrées.

Retour en France :

Le travail accompli, Jacqueline ne pensait pas revoir ce pays, mais on ne revient pas indemne.

Il n’était pas possible de ne rien faire pour ce pays, pour Péréré, pour l’orphelinat.

 Sans vouloir dévoiler le livre en voici quelques extraits:

MERCREDI 24 SEPTEMBRE 2003

Cotonou, capitale économique du Bénin, est une grande ville très polluée, avec des "Peugeot" toutes cabossées, sans vitres, avec des ficelles partout pour fermer coffre et portes et accrocher les plaques d'immatriculations...Et on emmagasine à l'intérieur, les gens et les choses. On entasse partout on en remet dessus...Les pneus sont à moitié dégonflés...

MERCREDI 2 OCTOBRE 2003

Il y a des margouillats (de gros lezards) qui courent partout au moindre pas que l'on fait. Il y a des odeurs assez indescriptibles et nauséabondes...Et il y a toujours ces orphelins, ces gens malades, cette petite fille amputée du gros orteil suite à une piqûre de serpent...

Aujourd'hui, Saliou, ce bébé de 25 mois...Ce matin on lui a prélevé du sang pour analyse. Très fort taux de globules blancs. Même pas le temps de faire la formule sanguine. Il a rendu l'âme, vers 15 heures...

LUNDI 6 OCTOBRE 2003

Les gens meurent on ne sait pourquoi; ils ne savent pas leur âge, même les jeunes. En un mot, on vit sans se poser de questions. Un enfant meurt et c'est la maman qui sonsole Maria-Luisa car la mère n'a pas le droit de pleurer. Les Africains sont paraît-il, très fatalistes. Si un enfant meurt, c'est la volonté de Dieu ! De toutes façons avec trois ou quatre femmes pour un mari, ils ne comptent plus le nombre d'enfants. Il y en a partout...mais dans quel état ?

Jacqueline et Paul dans OUEST-FRANCE

Une des actions de Jacqueline et Paul a consisté à créer une ferme de production de SPIROLINE*.

Toute l'installation a été conçue par Paul.

*La spiruline est une variété d'algue bleue à très forte teneur en protéines. La spiruline contient du fer, des bêta-carotènes, des sels minéraux, des oligo-éléments et des acides gras essentiels. 

Voici un film monté par Paul, montrant l'installation réalisée au Bénin.

 ENTREZ DANS LE SITE POUR DECOUVRIR LE TRAVAIL DE L'ASSOCIATION ! 

Pour acheter le livret entrer dans le site (lien ci-dessous)

Pour tous renseignements     

  ASSOCIATION Bana du Bénin

Jacqueline et Paul GUIBERT

48 boulevard Voltaire

35000 Rennes

Site web :

http://www.banadubenin.fr

E-mail

banadubenin@wanadoo.fr

 COMMUNIQUER ! OUI...

MAIS...

AVEC SON PORTABLE !

 Je crains le jour où la

technologie dépassera

l'homme.

Le monde aura

une génération d'idiots.

EINSTEIN

Matériel

1 Œuf

2 Portables

Expérience

  Un œuf est placé entre deux portables

  Un appel d’une durée de 65 mn environ

  est effectué

  Les 15 premières minutes rien ne se passe

  A partir de 25 mn l' œuf commence à chauffer

  Au bout de 45 mn l' œuf est chaud

  Au bout de 65 mn l' œuf est cuit

Conclusion : La radiation émise par les portables est capable de modifier

les protéines de l’œuf.

On peut Imaginer ce que ça peut produire  sur les protéines de notre cerveau lors de nos conversations !!!

QUI A DIT RIEN A CRAINDRE ?…

ET SI NOUS PARLIONS DU TEMPS !

 DEVINETTE (pour rire)

- Question : Combien y-at-il de saisons en Bretagne? 

- Réponse :DEUX 

- Comment ça ? 

-  Et bien, il y a la grande saison des petites pluies et la petite saison des grandes pluies

 Quand on veut faire "bisquer" un breton on lui parle du temps.

A vrai dire, cette année il a fait un temps "minable" partout...Le sujet de conversation spontané le plus fréquent des français a été sans nul doute la météo.

Près de DINAN, une cité est à l'origine de la naissance de la ville. Il s'agit de LEHON. Un monastère a donné naissance à la petite ville qui l'entoure. A la fin de notre visite, alors que nous allions reprendre la voiture pour continuer notre périple, nous avons croisé une dame qui rentrait sa poubelle. Une conversation s'est engagée. Pendant la conversation,discrètement, le camescope a continué à tourner. Regardez le film réalisé par "Le Cami"

SUSCINIO : Résidence des ducs de Bretagne.

Nous quittons la côte intérieure du Golfe pour nous diriger vers la mer. Nous sommes sur la commune de Sarzeau. Soudain au détour d'une petite route, une bâtisse de pierres, impressionnante forteresse, présente ses deux tours de part et d'autre d'un pont levis...

> Lire l'article et voir les photos.

oOoOoOoOoOo

FORT LA LATTE

LIEU DE TOURNAGE DE NOMBREUX FILMS.

FORTIFICATIONS DE VAUBAN.

> Voir le film réalisé par "Le Cami".

LE LOGEO : Petit coin de paradis

Nous voilà de l'autre côté du golfe du Morbihan. Morbihan signifie "petite mer" en breton. C'est en effet une petite mer fermée par la presqu'île de Rhuys qui fait 21 kms de long et 5 kms de large.

Le golfe est un lieu  où la mer, la terre, le ciel se mêlent en paysages changeants et insolites. Les îles du Morbihan sont occupées depuis 4000 avant JC. Elles ont été occupées par les Celtes, des Vénètes, des Romains et des Bretons.

Le Logéo est un petit port comme je les aime. J'ai lu que "logeo" signifiait "cabane" en breton. En cette période où les touristes ne sont pas encore arrivés, la petite rue qui mène au bout du port est libre de circulation. Dans quelques semaines les maisons en pierre qui la bordent s'animeront. Un  restaurant au cœur de la baie semble cultiver son esprit paillote. Il est fermé aujourd'hui. Sur l'ardoise plantée à l'entrée, brochettes de St Jacques et poissons grillés.

Dans le port, pas de pontons ou d'appareillages compliqués pour accrocher les bateaux. De simples corps-morts suffisent. Ici ou là quelques bouées blanches attendent les embarcations parties en mer. Ce sont le plus souvent de petits "pêche-promenade" de gens simples qui semblent apprécier cette vie à la bonne franquette qui est la caractéristique de cette baie.

Un bassin fermé d'un mur de pierres dans lequel attendent quelques sacs d'huitres fait office de vivier et laisse penser qu'ici comme sur toute la côte les ostréiculteurs régalent les amateurs de coquillages. Là bas on devine l'île aux moines, l'île d'Ars. La mer touche le ciel. depuis deux ou trois jours il ne fait pas beau. C'est bien dommage...Mais la Bretagne serait-elle ce qu'elle est s'il faisait toujours beau ?

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