• Le Cami - N°103

     

     

     

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    Le Cami - N°99

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    Le Cami - N°103

     

     

     103

     

      

     

    Carnet de voyage.

     

     DEPAYSEMENT ASSURE ! 

    Nous avons parcouru les "Bardenas Reales", un désert aux pieds de la Navarre

    Un Grand Canyon, comme dans un western mais en Espagne à soixante-dix kilomètres de la frontière française !                                                                                        OUVRIR

     

     

    ARIEGE :DECOUVRONS QUILLAN.

     Quand on traverse la ville de Quillan à la frontière entre l’Ariège et l’Aude, on n’imagine pas qu’elle date de l’époque médiévale. La route moderne passe suffisamment loin du château pour que le voyageur ne se rende pas compte que c’est là, au pied de la forteresse en ruine que les premières maisons sont nées.                                                                                                                                                  OUVRIR

     

    PYRENEES : LE MIRACULE DE L'AUBISQUE

     Le miraculé de l'Aubisque.

    En 1951, la course bat son plein et Wim Van Est devient le premier coureur hollandais à s’emparer du maillot jaune suite à sa victoire d’étape la veille à Dax. Une grande fierté pour lui et pour les hollandais alors que se profilent les Pyrénées dès le lendemain avec l’étape Dax-Tarbes. Aussi curieux que cela puisse paraitre, Van Est n’a jamais grimpé un col de sa vie.

                                                                                                                                                                  OUVRIR

     

    DORDOGNE :  GLUGES, LE "NID" SECRET  DE PIAF 

    Le Cami - N°103

    A quelques pas de Rocamadour, Martel, Souillac, du gouffre de Padirac, ... blottie dans les rochers, le long de la vallée de la Dordogne, Gluges.

     

    Le petit village de Gluges a baptisé sa place du nom de Edith Piaf. 

    Le Cami - N°103

    Années 50 à quelques kilomètres de la route de Paris sur laquelle se croisent les tractions avant le village de Gluges reste à l'ombre de sa falaise tranquille.  C'est L’abbé Delbos, curé de Saint-Denis les Martel qui s'en occupe comme il peut la petite église, pas glorieuse est touchante . Un soir qu'il ferme la porte volante, une femme distinguée l’interpelle. Sa silhouette est frêle, mais un je-ne-sais-quoi émane d’elle qui dit ne pas être bigote. « Je séjourne à Cressensac mais j'aime votre petit village, et j'aime venir me recueillir en ce lieu", lui confie- t-elle.

     

    La conversation s'engage, elle se présente…

    Je m'appelle Edith Piaf est-ce que cela vous ferait plaisir que je vous offre des vitraux pour remplacer ceux qui sont cassés ? Seulement, j'ai mis une condition. Tant que je serai en vie je veux que personne ne sache que j'ai fait ce don ».

    Le curé a tenu la promesse faite ce jour là pendant prés de 10 ans il a tenu le secret à ses fidèles. Au Bon Dieu, tout de même il avait bien fallu expliquer d'où venait ce cadeau. Après le décès de la chanteuse survenu le 10 octobre 1963 à l'âge de 48 ans, le curé célébre une messe pour elle et annonce aux paroissiens étonnés que ces vitraux par où la douce lumière déborde la Dordogne et entre dans l'église ontt été offerts par celle que toute la France pleure

    Depuis, chaque année, l'association des amis de Gluges fait une messe à la mémoire de la célèbre chanteuse.

    Le Cami - N°103

     Pour situer "Gluges", cliquez sur la carte !

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    LE BILLET DE CHARLY
     

    Dans l’école d'un village ariègeois, l’instituteur proposa comme sujet de rédaction : Racontez la fête de l’année que vous préférez.

    Parmi les récits figurait la Fête du cochon. Elle avait aux yeux du rédacteur davantage d’importance que Noël ou le Jour de l’an. Le jour de cette fête un pauvre mais beau cochon jusque-là  engraissé et choyé terminait sa vie dans les chaudrons. L’ambiance festive  n’avait rien à envier aux autres fêtes de l’année. Le clan familial, les voisins, les charcutiers occasionnels, spécialistes de transformation de morceaux choisis, étaient à pied d’œuvre pour transformer la moindre partie de la bête en victuailles qui étaient dégustées durant le reste de l’année. Cette tradition  persiste encore dans certaines familles rurales qui ont gardé un attachement fort pour le passé. La modernité, l’évolution de la société font qu’elle est de moins en moins pratiquée. Cette coutume avait une valeur  dans le sens où elle s’inscrivait dans le rythme de vie des « hommes de la terre » et favorisait le sentiment  d’appartenir à une structure sécurisante : la famille ou un groupe d’amis sur lesquels on pouvait compter.

    Evènement du passé transmis par les générations précédentes la tradition est une manière habituelle d’agir ou de penser dans une région, un pays, une communauté, … La tradition permet donc à la société de prendre conscience de ses particularités en gardant des attaches à son passé. Du même coup elle permet aux hommes de se rapprocher. Elle permet, en outre à l’homme de s’instruire et de profiter des acquis des générations précédentes.

    Mais ce qui était vrai et utile à un moment de la vie de l’homme l’est-il forcément toujours ?

    Dans un autre village, de l’autre côté du col du Saraillé, une école un peu particulière avait été créée. L’institution qui n’existe plus, bien sûr, a eu pour mission de préparer les jeunes de la région au métier de « Montreur d’ours »..

    A une époque des habitants capturaient un jeune ours des Pyrénées pour le dresser, parcourir la France et s’en servir comme « bête de cirque » pour gagner leur vie. Cette pratique est aujourd’hui condamnée. C’est un musée au cœur du village qui en rappelle la tradition.

    Autre coutume : On peut être choqué par l’image de cet entonnoir enfoncé dans le gosier de l’oie qui permet de la gaver de grains. Cela ne nous empêche pas de déguster durant les fêtes un bon foie gras malade. La tradition le veut.

    Pour justifier le maintien de certaines coutumes on les cache parfois derrière le générique « tradition » pour qu’elles puissent continuer à vivre. C’est le cas des corridas, manifestation très ancienne dans laquelle  on assiste à la mort sanglante d’un taureau.

    Ce qui apparaissait autrefois comme une chose  naturelle peut apparaître aujourd’hui comme une barbarie et être réprouvé par la société. Pour ces raisons, certaines traditions ont du mal à survivre.

    Bon nombre de traditions d’aujourd’hui ont pris leur origine dans les croyances anciennes. On célébrait alors le culte des forces mystérieuses des sources, des lacs, des arbres, des pierres, des montagnes. Chaque village avait les siennes. Elles se sont effacées petit à petit parce qu’on s’est mis à croire davantage aux engrais chimiques qu’à la branche de rameau béni pour la fécondité des champs. Aujourd’hui on se tourne plus volontiers vers le médecin ou le pharmacien pour soigner une plaie que l’on se contentait de frotter autrefois avec une herbe magique.

    Il n’empêche que le Français qui a gardé des membres de sa famille dans un village, même si celui-ci a évolué, transformé par la modernité sait combien l’âme et la mentalité de ses anciens habitants sont emprunts de ces croyances légendaires qui gardent des traces dans leur façon de vivre.

    Pour survivre, ou continuer à vivre, une tradition doit s'adapter. Ce sont les hommes qui sont responsables de déterminer comment doit se faire cette adaptation, c’est le seul moyen de conserver leur patrimoine.

    Nombreux sont les lieux qui gardent des traces de coutumes anciennes. Nos « gentils » organisateurs de festivités ou de visites doivent cependant se soucier de ne pas remplacer les Dieux des croyances d’autrefois par le Dieu du commerce.

    La croissance permanente des villes, l’insécurité rendent le respect des traditions de plus en plus difficiles. Heureusement, les associations folkloriques savent garder des liens avec la vie passée. Les vieux instruments utilisés autrefois dans les bals populaires campagnards reviennent aux mains de nombreux amateurs passionnés. On ressort des placards ou des musées des vieux costumes pour faire renaître les tenues d’autrefois. On remet au goût du jour des rengaines qui faisaient la joie de joyeux lurons.

    Pour survivre, les traditions qui sont autant de coutumes, de gestes, de manifestations, de breuvages, de mets, de langages aussi divers que variés dans notre pays, doivent trouver des nouvelles raisons d’être. Cela n’est possible qu’à condition que l’homme sache provoquer un attachement toujours renouvelé au passé.

    Ce n’est pas chose aisée avec le phénomène de mondialisation de l’humanité dont le principe de base est l’uniformisation.

     

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    Le Cami grivois

    N° 38

    Le Cami - N°103

     

    L'exercice prolonge la vie ??? 

    -L'inventeur du tapis de course est mort à 54 ans

    -L'inventeur de la gymnastique est mort à l'âge de 57 ans

    -Le champion du monde de bodybuilding est mort à l'âge de 41 ans

    -Le meilleur footballeur du monde, Maradona, est mort à l'âge de 60 ans.

    -James Fuller FIXX a contribué à lancer la révolution du fitness en Amérique en popularisant la course à pied. Il est mort d'une crise cardiaque pendant son jogging à l'âge de 52 ans.

    MAIS …

    -Le créateur du RICARD est mort à 87 ans

    -L'inventeur de la marque Nutella est décédé à l'âge de 88 ans

    -Le cigarettier Winston est mort à l'âge de 102 ans

    -L'inventeur de l'opium est mort dans un tremblement de terre à l’âge de 116 ans.

    -L'inventeur de la liqueur Hennessy est mort à l'âge de 98 ans.

     

    Comment les médecins ont-ils conclu que l'exercice prolonge la vie ?

    Le lapin est toujours en train de sauter en l'air, mais il ne vit que 2 ans et la tortue qui ne fait aucun exercice vit 400 ans.

     

    ---Alors, reposez-vous, détendez-vous, restez au frais, mangez, buvez et profitez de votre retraite. MaMar

     

     

    LA PHOTO :

    BEZIERS : Les écluses de Fonséranes, un lieu majestueux.

     

     

    Le Cami - N°103

    Après le pont du Gard et la cité de Carcassonne, les écluses de Fonséranes sont le troisième site touristique le plus visité de l'ancienne région Languedoc-Roussillon.

    Le franchissement d'une dénivellation de 21,50 m sur une longueur de seulement 312 m a nécessité la conception de huit bassins de forme ovoïde et donc de neuf portes d'écluse, une prouesse pour l'époque où le canal du midi a été créé. Les écluses de Fonséranes ont ouvert en 1697. Véritable escalier, elles sont comme un cadeau effectués par Riquet concepteur du canal à la ville où il est né.

    Le site est devenu le lieu emblématique du Canal du midi à Béziers.

     

    Pour mieux connaître 
    LE QUATORZIEME PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE                OUVRIR

     

    MASSAT : Dernière minute

    Un tragique accident d'électrocution sur une clôture électrique à Massat en Ariège

     

     

    Massat, Ariège - Une soirée paisible a rapidement viré au drame hier soir, lorsqu'un homme a été victime d'un accident d'électrocution en urinant sur une clôture électrique. Les faits se sont déroulés dans la commune de Massat, un petit village pittoresque situé au cœur des montagnes ariégeoises. 

    Selon les témoins présents sur les lieux, la victime, un homme d'une quarantaine d'années dont l'identité n'a pas encore été révélée, aurait décidé d'uriner en plein air, ignorant visiblement la présence d'une clôture électrique à proximité. Malheureusement, le contact entre l'urine et le courant électrique a entraîné une violente décharge, provoquant un choc électrique fatal. 

    Les secours ont été immédiatement alertés par les témoins horrifiés de l'incident. Les médecins et les pompiers sont rapidement arrivés sur les lieux, mais malgré leurs efforts pour réanimer la victime, celle-ci a été déclarée décédée peu de temps après leur arrivée. 

    Les autorités locales ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cet accident tragique. Les premiers éléments suggèrent que la clôture électrique en question était clairement signalée par des panneaux de mise en garde, mais il semblerait que la victime ne les ait pas remarqués ou ait fait preuve d'une négligence grave. 

    Cet événement tragique rappelle l'importance de la sécurité et de la prudence dans notre vie quotidienne. Les clôtures électriques sont mises en place pour protéger les propriétés et doivent être respectées en tout temps. Il est essentiel de rester vigilant et de prendre conscience des dangers potentiels qui nous entourent. 

    La communauté de Massat est sous le choc après cette terrible perte. Les habitants expriment leurs condoléances à la famille et aux proches de la victime, les soutenant dans cette épreuve difficile. 

    Cet accident tragique servira également de rappel à tous de respecter les règles de sécurité et de faire preuve de vigilance dans nos actions quotidiennes. La prudence est de mise, même dans les situations les plus banales, afin d'éviter de tels drames. 

    Les autorités locales appellent également à une sensibilisation accrue sur les dangers des clôtures électriques et à une meilleure information du public afin de prévenir de tels accidents à l'avenir.

     

    Cet incident permet de vérifier que

    le courant d'une simple batterie de 12 volts est mortel.

    "Allez voir " un courant de "Haute Tension". 

    La preuve ? Cet extrait du film "Les morfalous".

    MONDOVI

    Nous vous conduisons sur la plage de la Grenouillère à Bône.                      OUVRIR