• Le Cami - N°73

     

        

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    EVADEZ-VOUS, VERS LE PLUS AUTHENTIQUE

    CHATEAU-FORT DU PERIGORD : LE CHATEAU DE BEYNAC.

    Dressé au sommet d'une falaise vertigineuse, dominant le village de Beynac-et-Cazenac, c'est une sentinelle de pierre qui veille depuis plus de 9 siècles sur la Dordogne.  

     

     

       

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    le numéro 

     73

     

     

     

    LES BONS "TRUCS" DE "Le Cami"

    Braises ravivées

    Jetez une poignée de gros sel sur les braises permet au feu de reprendre vigueur très rapidement.

     

    Bouchons réutilisés
    > > > Ne jetez plus les bouchons en liège des bouteilles de vin : ils serviront d'allume-feu si vous les gardez dans un récipient rempli d'alcool ménager.

     

    Détachant magique 
    > > > Mettre un comprimé de Spasfon dans le tambour de la machine en même temps que le linge. Les pires taches ne résistent pas

     

    Feutres ressuscités
    > > > Vos enfants laissent systématiquement leurs feutres décapuchonnés?  Pour les raviver, trempez les mines dans du vinaigre.

     

    Fruits
    > > > Mettez des bouchons de liège dans votre corbeille pour empêcher  qu'ils ne s'abiment

     

    Gelée express
    > > > Cette recette est super et je vous la recommande : Faites bouillir 4 mn 75 cl de n'importe quel jus de fruits (du vrai) avec 1 kg de sucre.

    C'est tout et c'est génial.

    Guêpes 

    Pour éloigner les guêpes de l'endroit où vous êtes, écrasez sommairement quelques clous de girofle, et mettre dans une ou plusieurs soucoupes sur la table. Elles ne supportent pas l'odeur et s'éloignent.

     

    Gros glaçons
    > > > Vous avez besoin de gros glaçons ? Remplissez chaque moitié des emplacements d'une boite à œufs en plastique avec de l'eau.

     

    Lessive citron 
    > > > Une tache de café macule votre belle nappe?

    Mettez dessus du jus de citron et lavez-la comme d'habitude.

    Mouches
    > > > Pour chasser les mouches noires de votre plat de fruits: Conservez les bouchons de liège de vos bouteilles de vin et mettez-les dans le panier de fruits.

     

    Noir ravivé
    > > > Ajoutez quelques feuilles de lierre à la lessive de vos vêtements noirs : elles vont raviver le noir sans frais !

     

    œufs parfumés
    > > > Pour donner aux œufs un goût particulier, il suffit de les enfermer quelques jours dans une boîte hermétique avec, au choix : basilic, curry, estragon, lard fumé, ail, truffe. En effet, l'odeur passe à travers la coquille !!!

     

    Omelette : Alléger une omelette
    > > > Versez une cuillère à soupe d'eau (ou de lait) par jaune d'œuf dans votre omelette. Cela va l'alléger et la rendre plus digeste.  Utilisez la même méthode pour les œufs brouillés, ce qui offrira les mêmes avantages

    Pâtes : Cuisson des pâtes
    > > > Le sel que vous mettez dans vos pâtes retarde son ébullition et cela consomme plus d'électricité et de gaz. Il suffit de ne mettre le sel qu'au moment de l'ébullition juste avant de mettre vos pâtes.

     

    Rosbif durée de cuisson
    > > > Un doute sur le temps de cuisson d'un rosbif ? Avant de l'enfourner, mesurez sa circonférence avec un mètre de couturière. Son "tour de taille" vous donnera son temps de cuisson : 20 cm pour 20 mn.

     

    Rôti : Dorer un rôti 
    > > > Avant la cuisson, arrosez votre rôti de jus de citron. Cela vous permettra d'obtenir un rôti bien doré et parfumé grâce au jus de citron.

     

    Taches de vin
    > > > Du vin sur un tapis ? Pas de panique, versez immédiatement dessus de l'eau gazeuse et absorbez   la avec une éponge.

    Tarte aux fruits
    > > > Pour cuire vos tartes aux fruits sans risque que les fruits détrempent la pâte au cours de la cuisson, il suffit de pré cuire la pâte un quart d'heure environ dans le four préchauffé, 180°C - Th. 6.  Vous pouvez aussi verser sur votre pâte de la poudre d'amande ou de noisette juste avant de placer vos fruits.
    > > > Pour parfaire la cuisson de votre tarte, et rehausser le gout des fruits, faites chauffer dans une casserole un peu de marmelade de fruit que vous étalerez sur votre préparation à laide d'un pinceau

     

    Verres rénovés
    > > > Donnez un coup de neuf à vos verres : frottez-les avec un chiffon doux et un peu de dentifrice : les éraflures vont disparaître et les verres retrouver leur éclat.

     

     

     

     PAROLES D'ENFANTS


     

    Avec quelle main tu dessines à l'école ?

    Avec ma mienne. "      (Clara 3 ans)

     


    " Dis, papa, quel travail il faisait Joseph ? 

    - Il était charpentier. 

    -  Et Marie, elle travaillait ? 

    -  Non, elle s'occupait du petit Jésus. 

    - Alors, pourquoi le petit Jésus, il était à la crèche ? " (Cédric 6 ans)

     

    Lorsque j'ai demandé à mes élèves ce que signifiait un gland,

    j'étais loin d'imaginer la réponse que Yohan me ferait :

    " Un gland, c'est quelqu'un qui n’avance pas quand il est en voiture ".  (Yohan 7 ans)

     

    Maman : "Manon, si tu n'écoutes pas, je vais demander au Père Noël de t'apporter de nouvelles oreilles à la place des jouets. "

    Manon : "Demande-lui alors des oreilles avec des boucles d’oreilles". (Manon 4 ans)

     

    La grand-mère vient de mourir et tout le monde est triste.

    Claire va voir son grand-père avec un grand sourire et lui dit :

    " T'as de la chance toi ! T'es si vieux que tu vas mourir bientôt

    et tu seras le premier à la revoir " (Claire 5 ans)

     

    " Où j'étais quand j'étais pas né ? " demande Paul à sa maman

    " Tu étais dans mon ventre.

    - Et où j'étais avant d'être dans ton ventre ? "

    - Eh bien tu étais dans ma tête.

     - Et tu pouvais réfléchir quand même ? " (Paul 4 ans)

     

    "S'il te plaît, maman, je voudrais une petite sœur. 

    - Mais, chérie, papa ne veut pas maintenant. 

    - On n'a qu'à lui faire la surprise... " (Doriane 6 ans)

     

    Quand j'explique à Adam que les vaches donnent le lait et la viande, il demande :

    Et les frites aussi ? " (Pierre 3 ans)

     

    Guillaume dit à son Papa :

    " Papa, quand je vais être grand, je veux te ressembler,

    mais avec des muscles." (Guillaume 3 ans)"

     

    Maman :

    " Va te laver les dents, elles sont sales. "

    Jérémy :

    " Mais je ne mange que des choses propres ! " (Jérémy 4 ans)

     

    DERNIER

     

    LE BILLET DE CHARLY

    Cherchez dans le dictionnaire le mot  « déconfinement ». Comme moi vous serez surpris de ne pas le trouver.

    Ecrivez simplement ce mot dans le traitement de textes « Word » et il sera souligné de rouge pour vous indiquer que vous avez fait une faute. On vous proposera alors « dé-confinement »

    La crise sanitaire a modifié de nombreuses choses dans le mode de vie des Français. Elle a aussi changé leur manière de parler.

    Clusters, présenciel, distanciel, tous ces termes techniques ou déformation de mots existants sont largement utilisés d'abord dans les médias (presse, réseaux sociaux).

    Il y a des chances pour qu'on retrouve le mot "déconfinement" dans le dictionnaire prochainement, mais, une fois de plus, après que le mot ait été popularisé par ceux qui l’emploient, c’est-à-dire la population du pays. Cela m’incite à avancer, qu’avant l’Académie française,  c’est le peuple qui décide des mots qu’il veut employer.

    En effet, si depuis sa création (1634 par le Cardinal Richelieu) l’Académie française ne cesse d’enrichir ou de modifier le lexique de la langue en y introduisant des mots nouveaux, populaires ou trouvant leur origine dans les avancées scientifiques., ces  modifications n’entérinent le plus souvent que des coutumes ancrées dans les échanges verbaux du peuple.

    Prenons pour exemple la décision de 1835 de passer du « oi » au « ai » à la fin des verbes conjugués.

    Avant cette date on écrivait « il venoit » mais on prononçait « il venait » parce que l’origine latine des mots faisait que le « oi » se prononçait « oué », « oua », « é ». Ainsi le « oi » se prononçait souvent « ai ». L’Académie a choisi d’aller dans les sens du plus grand nombre  en faisant écrire « ai » le son qui se prononçait « é ». Elle décidait logiquement de mieux relier l’orthographe à la prononciation.

    Pourtant alors que jusqu’en 1835, les noms des peuples et des habitants s’écrivaient tous avec « oi » ( « un Anglois, un François »), ... de façon arbitraire certains noms se sont écrits avec « -ai » : « un Anglais, un Français, un Hollandais, un Marseillais, un Nantais ». D'autres ont continué de s’écrire « oi » : « un Chinois, un Québécois, un Suédois, un Lillois, un Niçois »…Tout simplement parce que la coutume en a décidé ainsi.

    Le dictionnaire, livre clé de notre scolarité a emboité le pas. Le Larousse (1876), était celui que nous consultions le plus souvent parce que plus abordable, illustré et  populaire. C’était celui que nous offrait l’école communale à notre entrée en sixième. Celui qu’Émile Littré a créé était plus complet, plus fouillé mais réservé aux pointures  littéraires au-dessus.

    L’autre combat mené par nos institutions politiques bien avant que l’Académie n’existe était  celui contre le « patois » ou plus généralement les « langues régionales »

    A la fin du XVIIIème siècle  la langue française, telle qu'on la parle à Paris, n’était  maîtrisée que par à peine 12 % de la population.

    C’est la France Révolutionnaire qui entame le combat après  un  « Rapport sur la nécessité et les moyens d'anéantir les patois et d'universaliser la langue française » du 4 juin 1794 remis à la convention par l’abbé Grégoire..

    On considère alors que  la lutte contre les langues des territoires contribue à l’amélioration de la cohésion nationale .

    Les méthodes préconisées pour introduire la langue française dans les foyers sont radicales et efficaces :

    - On envisage d’emprisonner purement et simplement les fonctionnaires récalcitrants.

    - Il est demandé  aux futurs mariés de prouver leur parfaite connaissance de la langue.

    - L’enseignement du français est généralisé.

    - Les curés sont remplacés par des instituteurs formés dans les écoles « normales ».

    Pourtant jusqu’en  1964 année où j’ai fait mon entrée dans l’Occitanie profonde en Ariège, on parlait encore spontanément patois dans les familles et l’effort de la traduction était indispensable pour nous permettre de suivre une conversation. C’est dire combien l’instauration de la langue française a été longue et ardue.

    Avec le développement de l’instruction publique la langue française a pris petit à petit sa place à l’école sous la Restauration puis le Second Empire.

      C’est François Guizot, ministre de l'Instruction publique du roi Louis-Philippe 1er qui  instaure un enseignement primaire public et obligatoire (loi du 28 juin 1833).

     L'effort sera poursuivi par les ministres Victor Duruy (1863) et Jules Ferry (1882).

    A cette époque, encore, la plus grande difficulté pour les jeunes apprentis  était de se « défaire » du langage familial de la petite enfance.

    La langue française connaitra son expansion dans le monde  par les conquêtes coloniales. Elle deviendra  langue officielle dans de nombreux pays.

    Il n’empêche qu'elle n’en finit pas d’évoluer, même pour un individu capable  de comprendre la langue de Victor Hugo.

    La preuve, c’est que des questions demeurent en suspens :

    Si j'emploie le mot "présentiel" ou "distanciel" est-ce que je parle français ?

    Dois-je employer  "distanciation sociale" au lieu de "distance physique" ?

    Un « cluster » c’est quoi au juste ?

    … Et j’en passe !!!! 

     

    UNE HISTOIRE  BÔNOISE ....PUISQUE L'ON PARLE DE LANGAGE !

    Si vous ne comprenez pas tout du langage utilisé dans cette histoire, ne vous en étonnez pas . Vos facultés mentales ne sont pas en cause. Ce ne sont que les sens des mots ou des expressions qui peuvent vous faire défaut. Pas étonnant si on prend en compte l'origine de ce parler imagé. Il s'agit en effet du langage qu'on utilisait dans la ville de Bône pour raconter des histoires "rigolotes".

    Ce texte retrouvé dans des archives émane d'un site dont nous avons perdu les références. Si son auteur se reconnait qu'il  accorde simplement à ceux qui saisiront ce langage, le temps de rire un bon coup...Merci !

    Après la grande messe, célébrée par l'abbé Agius ( alias Porta et Martimor), et le rappel des plaisanteries de potaches du lycée Saint-Augustin, nos trois compères décidèrent de préparer un repas de là-bas avec, au menu, des grillades de poissons. Les voici donc partis vers la grande surface la plus proche, vêtus d'un tee-shirt décoré aux armoiries de Bône. Au rayon poissonnerie, une jolie canusse de vendeuse les accueillit avec un sourire moqueur à la vue de ces sexagénaires affichant avec prosélytisme leur appartenance à une confrérie de joyeux lurons. Son regard fut particulièrement attiré par le mot Bône, écrit en grosses lettres capitales. Ignorant le nom de cette ville, disparu dans les oubliettes de l'Histoire, elle pensa que nous interpellions les femmes pour leur demander si elles étaient " bône ". Sachant que l'orthographe n'était pas une compétence nécessaire à la vente de poissons, nos trois amis profitèrent de cette méprise orthographique pour donner le ton à la conversation.

         - Que désirez-vous ? demanda la jolie vendeuse.
         - Donnez-moi des pourpres, répondit Christian.
         - Nous n' avons pas ce poisson, répliqua la canusse.
         - Et ça, c'est quoi ! dit Christian en désignant de son index un tas de calamars baignant dans l'encre noire.
         - Je les connaissais pas sous ce nom, avoua la vendeuse.
         - Donnez-moi des matsagounes, enchaîna André.
         - Qu'avez vous demandé ? déclara la vendeuse inquiète de ses lacunes en vocabulaire de la mer.
         - Des matsagounes ! Ce sont des crevettes grosses comme ça ! s'écria André en écartant ses deux mains de vingt centimètres pour donner une idée de la dimension.
         - Vous n'avez pas honte, à votre âge, d'importuner cette jeune femme ! reprocha une vieille dame qui croyait qu'André faisait la promotion de son appareil génital.
         - Nous parlons de poisson, lança Christian prenant la défense de son copain. Puis, il ajouta en écartant ses deux mains de cinquante centimètres : chez nous, on les a comme ça !
         - Quels vantards ces bônois ! murmura un ancien de Philippeville qui faisait la queue comme tout le monde.
         - Avez-vous des catsomarines ? demanda René à la vendeuse.
         - Comment dites-vous ? répondit la vendeuse agacée par ces clients qui semblaient débarquer d'un autre monde.
         - Catsomarine, c'est une holothurie appelée aussi concombre de mer, précisa René.
         - Comment ça se mange ? chuchota la vieille dame intéressée par la recette.
         - En salade, après les avoir fait bouillir et coupés en tranches, s'écria René. Puis, il ajouta : ce plat est un puissant aphrodisiaque, cent fois plus efficace que le Viagra !
         - Donnez-moi un kilo de catsomarines, c'est pour mon mari, murmura la vieille dame sur un ton confidentiel.
         - Nous n'en avons pas dans notre rayon mais je vais demander à mon chef d'en commander pour la semaine prochaine, conclut la vendeuse en nous faisant un clin d'œil.

         De retour à Gonfaron, les épouses de nos trois compères se chargèrent de griller au barbecue les pseudos pourpres et matsagounes tout en tchatchant. Pendant ce temps, André, Christian et René se faisaient macérer dans l'eau de la piscine dont la température atteignait 33 degrés, comme à Toche au mois de juillet.

    L'après-midi, après la sieste, il fallut encore patienter plusieurs heures dans la piscine avant d'attaquer l'anisette et la suite.
         Le lendemain matin, nos amis se retrouvèrent sur la terrasse au petit déjeuner, avec des mines déconfites tandis que leurs épouses faisaient une fugure de gatarelles mal braisées.

         Qu'avez-vous aujourd'hui bande de calamars, on dirait des caisses de mort ! s'exclama René.
         - Hier, j'ai fait tchoufa ! avoua Christian.
         - Moi aussi ! confia André.
         - Diocane, moi aussi ! confessa René.
         - C'est à cause de ces putains de pourpres patos, ils sont pleins de bromure ! expliqua Christian en bon connaisseur des produits de la mer.
         - Du bromure, t'ias dit ? ça y est, j'ai tout compris s'exclama René : depuis un mois je traite l'eau de la piscine avec du bromure.
         - Atso, tout notre corps il est imbibé de bromure maintenant, se lamenta André.
         - Y te reste pas un peu de Catsored, oh René ? supplia Christian.
         - Affirmatif, j'en ai dans la pharmacie, répondit René.

         Le lendemain matin, toujours au petit déjeuner, nos amis comparèrent leurs performances de la nuit.

         - Deux fois, avoua René, persuadé d'être le premier.
         - Et moi trois fois, surenchérit Christian.
         - Moi quatre fois, murmura André comme pour s'excuser d'être toujours le premier.
         - Quoi ! s'exclamèrent les épouses d'une seule voix dubitative.
         - Diocane à misère ! s'exclama René tout penaud. J'ai mal lu l'étiquette (normal pour un guitche) et je vous ai donné des dragées Fuca au lieu du Catsored !

         René fut condamné à offrir un flacon de Catsored à ses amis en leur promettant de traiter l'eau de la piscine au chlore à l'avenir.
          Le symposium s'acheva dans la bonne humeur car, pour la dernière nuit, l'honneur fut sauf

     

     
     
    SOIGNER L'ARTHROSE DES DOIGTS   
     (Transmis par Monique, spécialiste de la discipline)

    Cette thérapie guérit par de simples mouvements des doigts.

    INTÉRESSANT.

     Variante de la digipuncture accessible à tous (ou presque). 

    Quelques simples mouvements de doigts agissent comme une méthode miraculeuse. 

    C'est un exercice simple que l'on peut faire à chaque moment de la journée.

    Les avantages sont énormes :

     Anti-dépression et stress, normalise la pression sanguine.

    Active la production de sérotonine, substance du cerveau qui augmente le plaisir et la joie.

    Active la circulation sanguine

    Active l’hormone de la bonne humeur

    Guérit l'anxiété, Élimine les phobies. et bien d'autres avantages

    Découvrir la méthode .... CLIQUEZ !

     MONDOVI ?....Entrons!

    Lorsque la situation le permettait, je veux dire, avant que les troubles ne perturbent les déplacements, nombreux étaient les Bônois (habitants de Bône, aujourd’hui Annaba)  qui poussaient une visite à Mondovi.    LIRE

      


     

    AMIS JARDINIERS,  ATTENTION !

    Le mois de mai peut vous réserver des surprises. Les dates des 11, 12 et 13 peuvent tout particulièrement être néfastes pour vos cultures.

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    MONT VENTOUX - Retour sur un exploit - C'était en 2009 !                                               Ouvrir

    NOUVEAU     Notre feuilleton 

    ET SI C'ETAIT VRAI !

     

    Si le récit que je m’apprête à faire était imaginaire, vous trouveriez peut-être que j’ai l’imagination féconde. Ne vous méprenez pas. Les personnages de cette saga  ont  bien existé.

    Bien loin des grands de ce monde, ils n’ont rien fait d’exceptionnel. Ils ont contribué comme tout citoyen français à la « construction » de la nation dans la banalité de leur quotidien. Même si certains ont leur nom gravé sur des monuments, ils n’ont pas eu l’honneur de se voir réserver une seule ligne dans quelque dictionnaire ou encyclopédie qui soit. Pour cette raison, il nous suffira de les appeler « Pierre », « Jean-Paul », « Rosine » ou « Marcel » même si parfois  leur patronyme, a pu  impacter le déroulement de leur vie familiale. Parce que c’est bien de cela qu’il s’agit : raconter les croisements des chemins des membres d’une grande et même famille.

    Le travail sera de longue haleine. Pêle-mêle se sont accumulés témoignages, notes, récits oraux ou écrits qui nous aideront à cheminer de 1700, au temps des seigneurs de Massat en Ariège, à 2021, cette fameuse année où le monde entier se battait contre un ennemi commun.

    Notre chemin traversera Toulouse, l’Espagne, l’île de Malte, l’Algérie. Nous  remonterons en Occitanie  pour revenir dans ce coin perdu mais si attachant qu’est le Couserans en Ariège..

    Ainsi, nous passerons des bords de l’Arac, petite rivière de l’Ariège, à la Seine, grand fleuve de France après avoir côtoyé les rives de la Seybouse en Algérie et rodé sur les quais de la Garonne à Toulouse. Notre préoccupation constante sera de garder vivantes les traces plus ou moins  fraîches de ceux qui, à leur façon, ont tendu le flambeau que  ces écrits contribueront à maintenir incandescent pour  en faciliter la découverte aux  générations futures.

    Bonne lecture

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    DERNIER

     

    A la personne assise sur ces rochers face

    aux remparts de St Malo on posa la question :

    - "A quoi rêvez-vous ?"

    Elle  répondit

    - "A  l' histoire singulière. de cette ville qui a été République indépendante 

    du 11 mars 1590 au 5 décembre 1594.

    Je l'aime tellement que je rêve qu'elle le  redevienne ..."

     

     

    DERNIER


     

    Question ... réponse !   

     

    Au cours d'un jugement pour divorce, le couple se dispute la garde du fils unique.

    La mère, très émue, se défend :

    " Votre Honneur ... Cet enfant a été conçu en moi ...

    Cet enfant est sorti de mon ventre. Donc je mérite de le

    garder ! "

    Le juge, tout aussi ému et presque convaincu, laisse la parole au futur ex-mari...  

    Celui-ci utilise son côté pragmatique :  

    " Votre Honneur, je n'aurai qu'une question :

    Quand j'introduis ma pièce dans la fente d'un distributeur, à qui est ce qui en sort ... à moi ou à la machine ? "

     

    Façon de parler !

    DERNIER

    DERNIERPOUR VRAIMENT TOUT SAVOIR SUR LE PAIN, CLIQUEZ SUR L'IMAGE

    Extraits d'un diaporama transmis par Nicole de Montpellier.

     

    UN PEU D'HUMOUR NE NUIERA PAS !

    LES GRIVOISERIES FERONT LE RESTE ! POUR OUBLIER LA CONJONCTURE !

     

      Les Causses de Sauveterre, Méjean et Noir font partie des Grands Causses situés dans la partie sud du Massif Central.

    Séparés par les Gorges du Tarn et de la Jonte, cet ensemble de hauts plateaux offre des paysages fascinants et des vues imprenables.

     Le Causse Méjean  est un vaste plateau calcaire français faisant partie des Grands Causses.

    C'est le plus haut des plateaux caussenards avec une altitude variant de 800 m à 1 247 m au mont Gargo.

    Sa superficie approche les 340 km 2 (34 000 hectares).

    Le Causse Méjean est compris en totalité dans le périmètre du site des Causses et des Cévennes

     

    DERNIER

     

     L'Aubrac est un haut plateau volcanique et granitique français situé dans le centre-sud du Massif central et aux confins des trois départements de l'Aveyron, du Cantal et de la Lozère. 

    Il est bordé au nord-ouest par les monts du Cantal, à l'est par la Margeride et au sud par les plateaux calcaires des Grands Causses.

     

     

     

     

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    Ne pas confondre "la chute de l'histoire et "l'histoire de la chute".

    Dans une histoire, quand elle est "rigolote", la chute est le moment où l'on doit rire. Si on ne le fait pas c'est qu'on n'a rien compris.

    Comique, mais moins risible est l'histoire de la chute  de Marinette dans son escalier.

    Alors que la chute d'une histoire ne prend que 2 secondes, l'histoire de la chute a pris 28 secondes. Faites le calcul : quatorze marches à deux secondes par marche.

    Autre différence : l'histoire de la chute de Marinette est un "pot-pourri" de chutes. Chute d'entrée sur le coccyx,  chute avant, chute sur le dos, chute bras gauche, etc...autant d'occasions de "tomber" dans l'ironie ou la rigolade si le respect que l'on doit à notre victime ne mous retenait pas. 

    Louons le sens de l'humour et la clairvoyance de notre cascadeuse qui l'ont poussée à décomposer le scénario de cette descente qui a considérablement aidé le  médecin dans son diagnostic ...  

     

    LEUCATE - Attention ce n'est pas encore l'été...Rappelez-vous mars 2010 !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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