Artisanat découvert dans la cité de Najac.

 Le temps de sélectionner les photos de cette belle Cité de Najac et nous sommes à vous.

D'abord pour réaliser un petit film souvenir de ce lieu impressionnant  qui a gardé son cachet médiéval.

Ensuite, pour retracer les grandes lignes du passé du village devenu plus beau village de France.

Enfin, pour poursuivre nos investigations à partir de photos qui nous offrent l'occasion de prolonger notre visite.

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LE BILLET DE CHARLY

La communion solennelle étape inévitable de la culture religieuse catholique avait au moins un aspect positif, celui de donner l’occasion de recevoir des cadeaux. C’est du moins ce que nous pensions lorsque nous étions gamins. Parmi ces cadeaux figurait souvent en bonne place le stylo à encre. C’était un peu la manifestation du passage de l’adolescence au statut d’adulte. On disait autrefois mais je crois qu’on le dit encore : «  Il y a deux choses qu’on ne doit jamais prêter c’est le stylo et la femme ». Le stylo était souvent accompagné d’un porte document protégeant les accessoires nécessaires au courrier. Le mien contenait un bloc de papier à lettres, un paquet d’enveloppes et le fameux stylo. Fabriqué en cuir véritable, rembourré de mousse, il était fort agréable au toucher. Une fermeture éclair permettait de l’ouvrir et de l’utiliser comme sous-main. L’objet m’a tellement plu que je l’ai préservé de toute dégradation et je le possède encore.

Ces cadeaux utiles sont la manifestation de l’importance que l’on donnait autrefois à la correspondance écrite.

C’est par cette feuille manuscrite cachée dans une enveloppe que passaient toutes les nouvelles, bonnes ou mauvaises. Il fallait au mieux deux à trois jours pour qu’elle atteigne son destinataire et au moins autant pour avoir la réponse la plus rapide.

Certaines lettres sont devenues des bijoux de la littérature et on fait la promotion de leurs auteurs. D’abord privées, elles sont rentrées dans le domaine publique. J’ai le souvenir de certaines lettres coquines de Madame de Sévigné à sa fille. Elles parcouraient le lycée et nous nous disputions pour pouvoir les lire. Certains s’amusaient même à en modifier la prose pour les rendre plus cocasses.

J’ai longtemps pris plaisir à lire les lettres d’une personne suffisamment âgée pour avoir subi les deux guerres mondiales qui avait une écriture appliquée et une orthographe parfaite. Son outil de prédilection était la plume Sergent Major. J’avais quelque complexe à lui répondre au stylo à bille « Bic ». Mais comme dit une de mes petites filles, il faut vivre avec son temps.

Notre temps c’est celui du « courrier électronique », le « courriel ». Notre correspondance passe la plupart du temps par le « mail ». On ne prend plus le temps d’écrire vraiment. Le message est de rigueur, souvent court et succinct. On se risque parfois à poser la question de savoir si telle ou telle opération administrative peut se traiter par écrit. La réponse est affirmative mais on sent bien pour notre administrateur que  l’informatique est plus rationnelle. A lors on s’exécute, conscient que ce sera sans doute plus rapide.

Que garde-t-on des « courriels » que l’on reçoit ? Presque jamais rien. Une fois lus, ils sont le plus souvent mis en deux « clics » à la poubelle virtuelle.

Les lettres manuscrites ont toujours eu l’avantage d’être conservées plus longtemps. Il arrive même lorsqu’elles annoncent un évènement qu’elles soient précieusement rangées dans une boîte ou un tiroir pour être relue de façon nostalgique un peu plus tard. Voilà qui fait dire qu’une lettre personnelle peut être considérée comme supplément à tout autre message. Pour cette raison elle ne disparaitra sans doute jamais. Une belle lettre écrite de façon appliquée reçue dans une enveloppe élégante contrebalancera toujours efficacement le barrage des messages numériques.

Alors à nos stylos.

 Le 14 février, c'est la

Saint Valentin 

 Nous avions évoqué cet évènement dans deux numéros

1      2

(1855-1922)

En pyjama, il tombe du train et finit à l'asile

OUVRIR

9 février 1956

LA NEIGE 

OUVRIR

C'EST D'ACTU    SCANDALEUX !     Bon appétit !        transmis par   Ma-Mar.

C'est plus que gravissime ! et personne n'en parle..

2023 - Les gens vont désormais manger des insectes sans le savoir.

A partir de la nouvelle année 2023, l'UE a donné l'autorisation d'ajouter des insectes (grillons domestiques) aux produits de boulangerie, pâtes et autres produits semi-finis "pour le grand public".

Bien qu'il y ait trop peu de connaissances publiées sur les allergies et les réactions anaphylactiques possibles, la Commission européenne est d'avis qu'aucune exigence d'étiquetage spécifique concernant les réactions allergiques possibles ne doit être répertoriée.

Cependant, les personnes allergiques aux crustacés, aux mollusques et aux acariens sont très susceptibles de souffrir également de réactions allergiques lors de la consommation de produits contenant des grillons domestiques. Cela peut également entraîner de nouvelles réactions allergiques au substrat qui est donné aux insectes.

Par conséquent, il n'y a une exigence d'étiquetage que si le produit contient de la poudre "Acheta domesticus".

Cela signifie que les gens doivent découvrir par eux-mêmes que "Acheta domesticus" est réduit en poudre et ajouté aux grillons domestiques et doivent vérifier par eux-mêmes s'ils pourraient y être allergiques.

L'admission commence le 24 janvier 2023.

Responsable de l'approbation :Ursula VON DER LEYEN

Les produits "grand public" suivants seront prochainement commercialisés avec l'ajout de grillons (Acheta domesticus) .

Les insectes contiennent des CHITINA qui ne peuvent pas être traités par nos intestins. 

La chitine est un polysaccharide très appétissant pour le cancer, les parasites, les champignons et tout ce qui cause la maladie.

Chitina fait partie de sa construction.

Les insectes contiennent également des stéroïdes métamorphiques, en particulier ECDISTERONE. Ce n'est pas une nourriture de mammifère.

Seuls les oiseaux peuvent transformer en toute sécurité la nourriture des insectes. Le système digestif des oiseaux est complètement différent du nôtre.

Maintenant vous savez pourquoi ils veulent qu'on mange les insectes. Est-ce clair ?

Que chacun lise le journal de l'UE par lui-même, voici la source -

Journal officiel de l'Union européenne, 04/01/2023

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32023R0005

Cliquez sur l'image 

MASSAT 

Les conditions de vie des paysans en 1667

Extrait de la lettre de M. De Froidour écrite en 1667

 (Troisième partie)

Pour quelles raisons les femmes mariées grossissent-elles alors que les femmes célibataires maigrissent?

En fait c’est très simple ... pour le savoir

OUVREZ VITE ! 

"Ces paysans sont quelquefois deux et trois mois sans sortir, demeurant enfermés dans ces tanières comme des renards. Vous serez bien étonné quand je vous dirai qu’ils sont quelquefois quatre ou cinq mois sans manger du pain, ne vivant que de lait qu’ils font bouillir avec un lieu de farine de millet et de blé sarrasin, sans même en ôter le son, et quelquefois avec des fèves".

 LIRE

LA VIE PASTORALE d'autrefois dans la région de Massat

Retour sur un reportage réalisé par "Le Cami" dans un village pastoral d'autrefois.

ARIEGE : Entre Massat et le site de l'étang de Lers un village pastoral est libéré de la végétation qui l'avait enseveli après la désertion des paysans pauvres de la région. Il nous livre les secrets de la vie pastorale d'autrefois.

On connait l'adage, une pomme par jour éloigne le médecin, mais trois fraises quotidiennes écartent à la fois l'endocrinologue, l'oncologue et le neurologue selon les travaux des chercheurs, qui ont étudié ce fruit sur des souris diabétiques.

Il regorge de fisétine, un anti-oxydant qui diminue les complications rénales et cérébrales du diabète, réduit l'activité inflammatoire liée au cancer et protège contre la maladie  d'Alzheimer.

Alors vite, ramenons notre fraise, c'est vraiment bon pour la santé.

 Il faut beaucoup de monde pour soutenir ceux qui montent. La plupart restent dans l'ombre. La montée prend trois ou quatre minutes, la descente, à peine plus de vingt secondes.

Découvrir 

Comme la pomme de terre, la tomate, le haricot, le maïs, le piment d'Espelette trouve ses ancêtres en Amérique.

Celui d'Espelette a sans doute voyagé dans les bagages de quelques marins basques.

Il semblerait que la culture du piment remonterait vers 1650. On l'appelait alors "le poivre d''Inde".

C'est entre Ustarritz et Aïnhoa, Cambo et Saint-Pé-sur-Nivelle que le piment a retrouvé  son climat d'origine tropicale.

Le piment d'Espelette a gardé des exigences climatiques impressionnantes : de la chaleur régulièrement, des arrosages abondants mais réguliers, car il ne tolère nî sècheresse ni excès d'eau.

La culture du piment s'est ici propagée de ferme en ferme pour des soucis d'économie : le piment permettant de remplacer le poivre. Il ne coûtait que de ressemer les graines..

Ça donne du piment 

                             MONDOVI

Regardez ce film émanant des archives de l'INA.

Réalisé pour le compte du Gouvernement Général de l'Algérie, ce film rend hommage aux colons français qui, il y a cent ans, se sont installés en Algérie et ont fondé des villages en tous points semblables aux villages de France, le "pays qu'ils aimaient". C'est sur un village d'Algérie, uniquement peuplé de Français, que ce documentaire-fiction repose. Il n'est pas nommé car il est le symbole de nombreux villages existants en Algérie. En ce dimanche de juin 1949, on y célèbre son centenaire et les rues, les bâtiments publics et privés sont décorés de drapeaux tricolores et sur la place un bal est donné. Deux amoureux s'éloignent de la fête et contemplent le chemin accompli depuis 100 ans, depuis le jour de 1849 où un colon courageux a décidé de travailler ces terres incultes et de fonder un village. D'autres Français l'ont rejoint et aujourd'hui le village possède comme tous les villages : son monument aux morts; sa statue centrale aux pieds de laquelle les enfants jouent; sa mairie; son café de France; sa boulangerie; son charron; la camionnette du boucher qui passe deux fois par semaine; son épicerie; ses fermes avec ses poules, ses oies, ses vaches et ses paysans qu'on croirait transplantés de Bourgogne en Algérie; son église; son cimetière; son école avec ses écoliers qui jouent dans la cour et chantent des comptines.

Le village en question n'est pas Mondovi mais sa vie lui ressemble beaucoup, à l'image de tous les villages qui ont été créés par ces défricheurs qu'on a appelé les colons.

Mondovi, s'il avait gardé son nom jusqu' aujourd'hui aurait 174 ans.

Pour voir le film, cliquez sur l'image.

Dans le Numéro 99 nous raconterons les évènements du centenaire de Mondovi.